Prenez un de vos buts, fermez un instant les yeux et imaginez que vous l'avez atteint. Vous voulez obtenir ce poste de responsable marketing ?
Imaginez que c'est maintenant, que vous l'avez obtenu.
Ressentez en vous ce que vous ressentirez lorsque vous aurez atteint votre but. Descendez à l'intérieur de vous, sentir les sensations, les émotions.
Mettez-vous en scène. Jouez la scène dans votre esprit et dans votre corps.
Imaginez que vous arrivez dans votre nouveau bureau par exemple. Sentez les objets que vous touchez avec vos mains, entendez les gens qui vous parlent, voyez tous les détails de ce qu'il y autour de vous, créez une scène imaginaire dans votre esprit et vivez là dans votre corps tout entier.
“Imaginez à cet instant précis que vous avez atteint votre but, vivez-le en vous.”
Si vous avez des difficultés à faire cet exercice ou si vous doutez d'y arriver, dites à la petite voix en vous qui vous dit cela de se taire parce qu'elle raconte n'importe quoi.
Lorsqu'il s'agit de vous repasser mentalement les scènes désagréables que vous avez vécues la veille, vous êtes tout à fait capable de les revivre avec autant d'intensité que si elles étaient en train de se produire.
Si vous vous êtes fâché avec votre directeur, vous allez sans aucun effort revivre cette scène pendant plusieurs jours, comme si vous y étiez, avec autant d'intensité.
Vous pouvez même le faire avec des choses positives. Comme lorsqu'étant adolescent, vous avez repensé encore et encore le soir lorsque vous étiez seul dans votre lit, à vos premiers ébats amoureux. Vous aviez alors l'impression de les revivre.
Si vous pouvez le faire pour des choses réelles, vous pouvez aussi le faire avec des choses inventées, et si vous ne vous en croyez pas capable, faites comme si.
De toute façon, vous le faites déjà naturellement. Par exemple, lorsque vous imaginez 2 jours avant avec tous les détails la manière catastrophique dont va se passer cette réunion importante. Votre esprit n'hésite pas à inventer les pires scénarios pour nourrir vos appréhensions. Vous faites
preuve d'une imagination débordante pour inventer des cas de figures qui n'arriveront probablement jamais.
Au passage, sachez d'ailleurs que c'est une excellente manière de programmer son subconscient à l'échec. En vivant intérieurement ce que vous redoutez, vous imprimez en vous le message suivant : “C'est cela que je veux.”
“Vivez en vous maintenant l'atteinte de votre but.”
Notez bien la différente entre penser à l'atteinte de votre but et la vivre. C'est la même différence qu'entre parler d'amour et être amoureux. Lorsque vous parlez c'est uniquement intellectuel, mais lorsque vous vivez quelque chose c'est dans tout votre corps, dans tout votre être intérieur.
Apprenez-vous à faire la différence entre les pensées et les émotions.
Vous devez vivre l'atteinte de votre but en émotions, pas en pensées.
En mettant en scène l'atteinte de votre but, soyez attentif à ce que vous ressentez.
Que disent les émotions et sensations que vous ressentez lorsque vous avez atteint votre but intérieurement ?
Les informations que vous obtenez de cette manière viennent directement de votre subconscient qui vous indique si ce que vous voulez atteindre est bon pour vous ou pas.
Y croyez-vous ? Est-ce que ce but vous semble réalisable, est-ce que vous arrivez à le “palper”, à le ressentir comme s'il était réel ?
Notez vos sensations pour chaque but que vous avez. Laissez votre subconscient vous donner des indications utiles pour la réalisation de ce que vous voulez et les moyens d'y arriver.
“Vous ne pouvez réaliser que ce que vous croyez possible."
Si vous ne croyez pas que votre but soit possible à atteindre, il ne le sera pas. Vous ne pouvez atteindre que ce que vous croyez au fond de vous possible. Si vous arrivez à vivre votre but de manière réelle en vous maintenant, alors, vous pourrez l'atteindre même si vous ne savez pas encore comment.
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A propos de l'auteur :
Bruno est un passionné de développement personnel.
Il vous fait partager son expérience et met ses services à votre disposition.
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vendredi 10 avril 2009
Comment obtenir ce que vous voulez
Dans un restaurant, imaginez que lorsque je passe ma commande au serveur, je lui dise : Alors... Vous me mettrez... heu... pas de pattes, oui c'est ça, pas de pattes. Vous me mettrez aussi pas de frites, et également je voudrais... heu... pas de fromages... En quoi le fait de dire ce que je ne veux pas renseigne-t-il sur ce que je veux ?
Si vous dites à un chauffeur de taxi des noms de rue où vous ne voulez pas aller, en quoi cela le renseigne-t-il sur votre véritable destination ?
Expliquées comme cela, les choses peuvent paraître logiques.
Pourtant, lorsqu'on leur demande ce qu'ils veulent dans la vie, combien de fois, les gens vont répondre ce qu'ils ne veulent pas ?
Par exemple :
Je veux arrêter de manquer d'argent.
Je ne veux plus être malade.
Je ne veux plus être timide.
Je ne veux plus être seul dans la vie.
Je ne veux plus manger n'importe quoi, n'importe quand.
“Apprenez à formuler positivement vos buts et vos attentes.”
Vous devez absolument bannir toute tournure négative de vos pensées. C'est ce à quoi vous pensez le plus souvent qui programme vos gestes, actions et pensées futures.
Le fonctionnement de votre subconscient:
Votre subconscient est un peu comme les entrailles de votre ordinateur de bureau. Il y a ce que vous voyez à l'écran, c'est le conscient. C'est-à-dire tout ce dont vous êtes conscient, ce que vous pouvez constater, analyser et comprendre intellectuellement.
Le subconscient, lui, est le cœur de l'ordinateur, il est l'endroit où se passent tous les processus invisibles, tout ce qui ne peut être expliqué avec des mots.
Le langage du subconscient est totalement différent du langage du cerveau conscient, vous ne pouvez pas vous adresser à lui avec de simples mots.
Pour atteindre vos buts, vous devez savoir comment vous assurer l'aide de votre subconscient car il possède une intelligence millions de fois plus puissante que l'intelligence de la réflexion et l'intelligence rationnelle.
“Pour réussir vous devez vous faire aider par votre subconscient.”
L'intelligence du subconscient est quelques fois appelée intelligence émotionnelle. C'est une intelligence différente, elle fonctionne de manière globale et non linéaire. Elle possède des ramifications en dehors de vous et permet de vous connecter à l'intelligence de la vie, à l'intelligence qui permet à chaque chose d'être ce qu'elle est.
Voici pourquoi les gens sont malheureux dans la vie.
Votre subconscient ne comprend pas la négation. La négation est une notion intellectuelle. Pour dire que vous ne voulez pas une chose, vous devez tout d'abord l'imaginer et ensuite la sortir de votre tête en disant que c'est ce que vous ne voulez pas.
“En refusant de vouloir quelque chose, vous vous concentrez sur cette même chose et vous l'attirez dans votre vie.”
Dans la vie, vous obtenez ce sur quoi vous vous concentrez le plus. Si vous êtes contre la pauvreté et que vous pensez constamment que vous ne voulez plus être pauvre, que se passe-t-il en vous ?
Vous avez constamment à l'esprit cette image de la pauvreté et votre subconscient comprend que c'est cela que vous voulez “Vous obtenez ce à quoi vous pensez le plus.”
Lorsque vous avez compris cela, vous comprenez pourquoi tant de gens sont malheureux, ils ont constamment à l'esprit ce qu'ils ne veulent pas ou ne veulent plus dans leur vie et c'est ce qu'ils obtiennent. C'est une loi immuable de la vie.
Définissez dès maintenant vos buts de manière positive .
Votre subconscient est comme un compte en banque, tout ce que vous y placerez vous reviendra amplifié, augmenté d'intérêts.
Reprenez les résultats des différents exercices et assurez-vous que tout est bien formulé de manière positive, si ce n'est pas le cas inversez le sens pour obtenir une tournure positive.
L'excès de poids deviendra la minceur, la maladie deviendra la santé, la pauvreté la richesse...
Classez et datez vos buts.
Retravaillez votre liste de réponses jusqu'à obtenir des phrases simples, précises et positives.
Ensuite, pour chaque but, vous allez dater les choses, fixer une échéance finale.
Si vous sentez que vous n'arrivez pas à imaginer précisément les choses dans le temps en termes de délai, faites comme si tout était possible. Marquez ce que vous aimeriez dans le meilleur des cas.
Répondez à la question suivante :
idéalement, quand est-ce que j'aimerais avoir réussi à atteindre cet objectif.
Avant de passer à la suite, vous devez avoir une liste claire, précise, positive avec une date pour chaque élément.
“En datant vos buts, vous faites comprendre à votre subconscient ce que vous voulez vraiment, un but non daté n'est qu'une simple résolution...
"Dater c'est s'engager.”
Si vous vous surprenez à vous dire: “mais je ne sais pas moi quand est-ce que cela sera atteint”, dites-vous que c'est le délai que vous allez fixer qui va conditionner l'engagement de votre subconscient dans l'action et l'énergie qu'il y mettra.
Si vous vous dites que vous avez décidé de prendre 5 kilos d'ici 2 ans, votre mobilisation intérieure ne sera pas la même que si vous l'avez décidé pour dans 1 mois.
“En fixant une date, vous vous programmez pour réussir à cette date.”
Vous devez aussi classer vos buts par priorité, certains peuvent se chevaucher dans le temps, mais en fixant des priorités, vous saurez répartir votre énergie dans chacun d'eux proportionnellement à leur importance.
L'important n'est pas de savoir comment vous allez faire, mais de vouloir le faire.
Ce n'est pas maintenant que vous allez définir des stratégies, ni vous poser la question de savoir si c'est possible ou non. Pour l'instant, vous faites comme si tout était possible, rappelez-vous...
Vous faites comme si vous aviez une baguette magique. La seule chose que vous avez besoin pour l'instant en faisant ces différents exercices c'est de tester votre réelle motivation à obtenir telle ou telle chose et de faire comprendre à votre subconscient ce que vous voulez vraiment et que cette fois-ci ce n'est pas une simple résolution mais un engagement véritable à atteindre un but.
Et comme votre engagement est véritable, je vous rappelle que vous devez dès maintenant pouvoir faire une action précise, un premier pas dans le sens de ce que vous voulez. Si vous voulez perdre du poids, vous pouvez dès maintenant aller faire le ménage dans votre réfrigérateur ou prendre un rendez-vous avec une nutritionniste.
Faites un premier pas dès MAINTENANT.
Faites votre premier pas, engagez-vous, ce sera un excellent moyen de tester votre engagement réel, vous ferez les pas suivants au fur et à mesure de la lecture de votre manuel pratique.
Lorsque vous avez appris à écrire, vous n'avez pas attendu la fin de l'année scolaire pour commencer à faire des pages d'écritures, vous les avez faites chaque jour, en même temps que vous appreniez de nouvelles choses. C'est la même chose aujourd'hui.
“Vous devez appliquer immédiatement ce que vous apprenez.”
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Si vous dites à un chauffeur de taxi des noms de rue où vous ne voulez pas aller, en quoi cela le renseigne-t-il sur votre véritable destination ?
Expliquées comme cela, les choses peuvent paraître logiques.
Pourtant, lorsqu'on leur demande ce qu'ils veulent dans la vie, combien de fois, les gens vont répondre ce qu'ils ne veulent pas ?
Par exemple :
Je veux arrêter de manquer d'argent.
Je ne veux plus être malade.
Je ne veux plus être timide.
Je ne veux plus être seul dans la vie.
Je ne veux plus manger n'importe quoi, n'importe quand.
“Apprenez à formuler positivement vos buts et vos attentes.”
Vous devez absolument bannir toute tournure négative de vos pensées. C'est ce à quoi vous pensez le plus souvent qui programme vos gestes, actions et pensées futures.
Le fonctionnement de votre subconscient:
Votre subconscient est un peu comme les entrailles de votre ordinateur de bureau. Il y a ce que vous voyez à l'écran, c'est le conscient. C'est-à-dire tout ce dont vous êtes conscient, ce que vous pouvez constater, analyser et comprendre intellectuellement.
Le subconscient, lui, est le cœur de l'ordinateur, il est l'endroit où se passent tous les processus invisibles, tout ce qui ne peut être expliqué avec des mots.
Le langage du subconscient est totalement différent du langage du cerveau conscient, vous ne pouvez pas vous adresser à lui avec de simples mots.
Pour atteindre vos buts, vous devez savoir comment vous assurer l'aide de votre subconscient car il possède une intelligence millions de fois plus puissante que l'intelligence de la réflexion et l'intelligence rationnelle.
“Pour réussir vous devez vous faire aider par votre subconscient.”
L'intelligence du subconscient est quelques fois appelée intelligence émotionnelle. C'est une intelligence différente, elle fonctionne de manière globale et non linéaire. Elle possède des ramifications en dehors de vous et permet de vous connecter à l'intelligence de la vie, à l'intelligence qui permet à chaque chose d'être ce qu'elle est.
Voici pourquoi les gens sont malheureux dans la vie.
Votre subconscient ne comprend pas la négation. La négation est une notion intellectuelle. Pour dire que vous ne voulez pas une chose, vous devez tout d'abord l'imaginer et ensuite la sortir de votre tête en disant que c'est ce que vous ne voulez pas.
“En refusant de vouloir quelque chose, vous vous concentrez sur cette même chose et vous l'attirez dans votre vie.”
Dans la vie, vous obtenez ce sur quoi vous vous concentrez le plus. Si vous êtes contre la pauvreté et que vous pensez constamment que vous ne voulez plus être pauvre, que se passe-t-il en vous ?
Vous avez constamment à l'esprit cette image de la pauvreté et votre subconscient comprend que c'est cela que vous voulez “Vous obtenez ce à quoi vous pensez le plus.”
Lorsque vous avez compris cela, vous comprenez pourquoi tant de gens sont malheureux, ils ont constamment à l'esprit ce qu'ils ne veulent pas ou ne veulent plus dans leur vie et c'est ce qu'ils obtiennent. C'est une loi immuable de la vie.
Définissez dès maintenant vos buts de manière positive .
Votre subconscient est comme un compte en banque, tout ce que vous y placerez vous reviendra amplifié, augmenté d'intérêts.
Reprenez les résultats des différents exercices et assurez-vous que tout est bien formulé de manière positive, si ce n'est pas le cas inversez le sens pour obtenir une tournure positive.
L'excès de poids deviendra la minceur, la maladie deviendra la santé, la pauvreté la richesse...
Classez et datez vos buts.
Retravaillez votre liste de réponses jusqu'à obtenir des phrases simples, précises et positives.
Ensuite, pour chaque but, vous allez dater les choses, fixer une échéance finale.
Si vous sentez que vous n'arrivez pas à imaginer précisément les choses dans le temps en termes de délai, faites comme si tout était possible. Marquez ce que vous aimeriez dans le meilleur des cas.
Répondez à la question suivante :
idéalement, quand est-ce que j'aimerais avoir réussi à atteindre cet objectif.
Avant de passer à la suite, vous devez avoir une liste claire, précise, positive avec une date pour chaque élément.
“En datant vos buts, vous faites comprendre à votre subconscient ce que vous voulez vraiment, un but non daté n'est qu'une simple résolution...
"Dater c'est s'engager.”
Si vous vous surprenez à vous dire: “mais je ne sais pas moi quand est-ce que cela sera atteint”, dites-vous que c'est le délai que vous allez fixer qui va conditionner l'engagement de votre subconscient dans l'action et l'énergie qu'il y mettra.
Si vous vous dites que vous avez décidé de prendre 5 kilos d'ici 2 ans, votre mobilisation intérieure ne sera pas la même que si vous l'avez décidé pour dans 1 mois.
“En fixant une date, vous vous programmez pour réussir à cette date.”
Vous devez aussi classer vos buts par priorité, certains peuvent se chevaucher dans le temps, mais en fixant des priorités, vous saurez répartir votre énergie dans chacun d'eux proportionnellement à leur importance.
L'important n'est pas de savoir comment vous allez faire, mais de vouloir le faire.
Ce n'est pas maintenant que vous allez définir des stratégies, ni vous poser la question de savoir si c'est possible ou non. Pour l'instant, vous faites comme si tout était possible, rappelez-vous...
Vous faites comme si vous aviez une baguette magique. La seule chose que vous avez besoin pour l'instant en faisant ces différents exercices c'est de tester votre réelle motivation à obtenir telle ou telle chose et de faire comprendre à votre subconscient ce que vous voulez vraiment et que cette fois-ci ce n'est pas une simple résolution mais un engagement véritable à atteindre un but.
Et comme votre engagement est véritable, je vous rappelle que vous devez dès maintenant pouvoir faire une action précise, un premier pas dans le sens de ce que vous voulez. Si vous voulez perdre du poids, vous pouvez dès maintenant aller faire le ménage dans votre réfrigérateur ou prendre un rendez-vous avec une nutritionniste.
Faites un premier pas dès MAINTENANT.
Faites votre premier pas, engagez-vous, ce sera un excellent moyen de tester votre engagement réel, vous ferez les pas suivants au fur et à mesure de la lecture de votre manuel pratique.
Lorsque vous avez appris à écrire, vous n'avez pas attendu la fin de l'année scolaire pour commencer à faire des pages d'écritures, vous les avez faites chaque jour, en même temps que vous appreniez de nouvelles choses. C'est la même chose aujourd'hui.
“Vous devez appliquer immédiatement ce que vous apprenez.”
Espace cadeaux gratuit pour votre épanouissement!
A propos de l'auteur :
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Comment bien définir vos objectifs?
“Les buts extérieurs sont ce que vous faites ou avez. Les buts intérieurs sont ce que vous êtes.”
Vous êtes des “êtres” humains (et non pas des “faire” humains) Quel est le but d'un être humain selon vous ? Le but d'un être humain est d'ÊTRE.
Certaines personnes se contentent de FAIRE dans leur vie.
Les buts extérieurs sont ce que vous FAITES, ils n'ont rien à voir avec votre être intérieur.
En poursuivant des buts extérieurs, vous vous donnez l'illusion de quelque chose qui n'existe pas.
“Tout ce qui est à l'extérieur de vous est temporaire et illusoire. Tout ce qui est en vous est stable et réel.”
Si vous venez de vous acheter une nouvelle voiture, si vous avez un nouveau poste à responsabilité, de nouveaux amis ou une nouvelle décoration dans votre appartement, où est la stabilité ?
Il n'y a pas de stabilité dans les buts extérieurs, ils sont illusoires dans le sens où demain ils peuvent disparaître aussi vite qu'ils sont venus.
Qu'est-ce qui vous dit que vos proches seront toujours à vos côtés demain ?
Qu'est-ce qui vous dit que vos biens matériels seront toujours là ?
Qu'est-ce qui vous dit que votre patron ne va pas vous licencier ?
Comprenez bien ceci :
“Les choses extérieures n'amènent aucune stabilité intérieure.”
Dès que votre environnement extérieur se modifie, vous éprouvez une satisfaction temporaire immédiatement suivie d'un stress, d'une peur de perdre ce que vous venez d'acquérir – que vous en soyez conscient ou non.
La qualité de votre vie vient de s'améliorer et vous avez en vous la peur de vous retrouver comme avant, la peur d'avoir goûté à quelque chose que l'on peut vous retirer à tout moment.
C'est d'ailleurs pour cela que certaines personnes ont renoncé à avoir des buts dans la vie, à cause de la peur de s'habituer à quelque chose de mieux que ce qu'elles ont et de le perdre ensuite.
Ne misez pas tout sur le FAIRE ou l'AVOIR.
Si vos buts dans votre vie sont uniquement basés sur des éléments extérieurs à vous, vous allez créer un stress de plus en plus important en vous et également une insatisfaction croissante.
Lorsque vous cherchez à atteindre un but extérieur, c'est-à-dire à FAIRE quelque chose, c'est parce qu'inconsciemment vous pensez que cela va changer la manière dont vous vous sentez à long terme, donc en quelque sorte ce que vous ÊTES.
Seulement, ÊTRE et FAIRE sont 2 choses qui ne sont pas vraiment liées, vous pouvez être immensément riche, avoir le meilleur travail du monde, et être entouré de milliers d'amis, ce n'est pour cela que vous serez obligatoirement plus heureux.
Il y a une fausse croyance qui consiste à dire que si votre vie extérieure va bien, vous irez bien à l'intérieur, mais c'est FAUX.
“L'extérieur ne peut pas changer l'intérieur.”
Donc, si vous êtes convaincu qu'atteindre vos buts extérieurs ou changer vos conditions de vie va vous permettre de vous sentir mieux, vous risquez de vous sentir de plus en plus mal en les atteignant car ce n'est pas le cas.
“Les personnes riches sont aussi malheureuses que les personnes pauvres si elles ne se sont pas fixé des buts intérieurs, afin de modifier la manière dont elles se sentent, indépendamment des circonstances extérieures.”
Cela ne veut pas dire que vous ne devez rien vouloir changer dans vos conditions de vie. Vous pouvez tout à fait vous fixer des buts pour améliorer vos finances, construire une famille, avoir de nouveaux amis et un travail plus intéressant, mais ce n'est pas cela qui changera de manière certaine votre manière de vous sentir.
Le but ultime de tout être humain c'est de se sentir bien, pas d'avoir quelque chose...
Quelle place réservez-vous à l'ÊTRE ?
Examinez votre liste de buts.
Combien de buts sont des buts intérieurs ? C'est-à-dire des buts qui concernent des capacités que vous voulez développer, des nouvelles choses que vous voulez ÊTRE capable de faire des aptitudes que vous voulez acquérir ?
Vous êtes-vous fixé des buts comme :
Développer l'Amour en vous ?
Apprendre à devenir plus calme ?
Avoir davantage confiance en vous ?
Savoir mieux communiquer avec les autres ?
Savoir gérer les situations difficiles dans le calme ?
Devenir de plus en plus optimiste ?
Voir les solutions et non seulement les problèmes ?
Apprendre à aimer vos ennemis ?
Savoir vous relaxer en toute situation ?
Comprendre les mécanismes de la vie ?
Ces buts intérieurs sont opposés à des buts extérieurs dans le sens où ils sont définitifs.
Lorsque vous avez appris à mieux communiquer avec les gens et à vous attirer la sympathie des personnes que vous rencontrez, cette aptitude est définitive, un peu comme apprendre à parler une langue étrangère.
Lorsque vous avez appris à résonner en termes de solutions et non de problèmes, c'est la même chose.
“Lorsque vous progressez intérieurement, vous êtes fier de vous.”
Cette sensation de fierté se mélange avec un sentiment de sécurité intérieure car vous savez que ce que vous venez d'acquérir est stable et qu'il sera toujours avec vous dans le temps.
On ne peut pas vous l'enlever.
La notion de “JE” est en train de grandir, de s'étendre dans l'espace, vous êtes réellement en train de grandir, de vous développer d'une manière stable.
“En atteignant vos buts intérieurs, vous êtes en train de construire de solides fondations.”
Respectez un équilibre entre AVOIR et ÊTRE.
Si l'atteinte de vos buts extérieurs n'apporte pas le vrai équilibre intérieur que vous pouvez chercher, ils sont néanmoins importants dans notre société actuelle.
Il est donc important que vous ayez envie de changer votre environnement, d'acquérir des biens matériels, de faire grandir votre cercle d'amis ou d'avoir un nouveau travail.
Simplement, ces buts extérieurs ne doivent pas être une finalité en soi mais juste un moyen de vérification qui vous montre que vous êtes en train de progresser intérieurement.
Lorsque vous arriverez à doubler votre salaire mensuel d'une manière durable, vous ne devrez pas être satisfait par cela mais par ce que vous avez changé en vous et qui vous a permis d'y arriver.
Est-ce que vous comprenez la nuance ?
Si vous êtes attaché à la nouvelle voiture que vous venez de vous acheter, vous en devenez dépendant et avez peur de la perdre. Votre vie ne devient pas vraiment meilleure, ou seulement en apparence.
Par contre, si vous êtes satisfait parce que vous avez compris intérieurement les mécanismes qui amènent à pouvoir s'acheter une nouvelle voiture, par exemple savoir se fixer des buts et les atteindre, adopter la bonne attitude face à la vie et développer des nouvelles compétences intérieures qui vous ont permis de gagner plus d'argent qu'avant, vous ne célébrez pas votre nouvelle voiture mais la validation du fait que vous savez comment générer plus d'argent dans votre vie.
Comprenez-vous la différence ?
Le vrai but n'est pas d'avoir une nouvelle voiture, mais de comprendre le mécanisme qui permet de l'avoir. Lorsque vous avez compris le mécanisme, vous pouvez le généraliser sur d'autres choses, vous avez développé une nouvelle aptitude, celle d'atteindre vos buts. C'est une aptitude intérieure qui vous amène satisfaction intérieure et épanouissement durable.
Votre vie vient vraiment de changer grâce à VOUS.
“La qualité de votre vie doit dépendre de vos capacités intérieures – ce que vous ÊTES – et non pas uniquement de vos conditions de vie – ce que vous AVEZ.”
L'intérieur amène l'extérieur.
Lorsque vous faites de l'atteinte de vos buts intérieurs – c'est-à-dire ce que vous voulez être – une priorité, vous vous transformez intérieurement et durablement.
Votre potentiel intérieur change et vous êtes mieux “outillé” face à la vie.
Quelque chose de différent se dégage de vous, un peu comme si votre vibration intérieure s'était transformée et vous attirez des choses nouvelles dans votre vie.
Rappelez-vous que les choses les plus importantes dans votre vie ne vous arrivent pas de la manière que vous pouvez imaginer intellectuellement. Elles semblent comme dirigées par une force qui dépasse votre compréhension et votre champ d'action.
“Une force mystérieuse dirige votre vie.”
C'est grâce à cette force que certaines personnes ont de la chance, de bonnes opportunités, une bonne étoile et que d'autres semblent oubliées de la vie.
Vous attirez vos conditions de vie grâce à ce que vous êtes à l'intérieur de vous, en ayant votre propre développement intérieur en priorité. Vous rayonnez différemment et votre potentiel à atteindre ensuite tout ce qui vous plaira extérieurement sera décuplé.
Votre nouvelle vie est plus apaisante car vous savez que vous avez en vous toutes les clés du succès et que tout ne dépend que de vous...
“Votre vie extérieure est le reflet votre vie intérieure"
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Vous êtes des “êtres” humains (et non pas des “faire” humains) Quel est le but d'un être humain selon vous ? Le but d'un être humain est d'ÊTRE.
Certaines personnes se contentent de FAIRE dans leur vie.
Les buts extérieurs sont ce que vous FAITES, ils n'ont rien à voir avec votre être intérieur.
En poursuivant des buts extérieurs, vous vous donnez l'illusion de quelque chose qui n'existe pas.
“Tout ce qui est à l'extérieur de vous est temporaire et illusoire. Tout ce qui est en vous est stable et réel.”
Si vous venez de vous acheter une nouvelle voiture, si vous avez un nouveau poste à responsabilité, de nouveaux amis ou une nouvelle décoration dans votre appartement, où est la stabilité ?
Il n'y a pas de stabilité dans les buts extérieurs, ils sont illusoires dans le sens où demain ils peuvent disparaître aussi vite qu'ils sont venus.
Qu'est-ce qui vous dit que vos proches seront toujours à vos côtés demain ?
Qu'est-ce qui vous dit que vos biens matériels seront toujours là ?
Qu'est-ce qui vous dit que votre patron ne va pas vous licencier ?
Comprenez bien ceci :
“Les choses extérieures n'amènent aucune stabilité intérieure.”
Dès que votre environnement extérieur se modifie, vous éprouvez une satisfaction temporaire immédiatement suivie d'un stress, d'une peur de perdre ce que vous venez d'acquérir – que vous en soyez conscient ou non.
La qualité de votre vie vient de s'améliorer et vous avez en vous la peur de vous retrouver comme avant, la peur d'avoir goûté à quelque chose que l'on peut vous retirer à tout moment.
C'est d'ailleurs pour cela que certaines personnes ont renoncé à avoir des buts dans la vie, à cause de la peur de s'habituer à quelque chose de mieux que ce qu'elles ont et de le perdre ensuite.
Ne misez pas tout sur le FAIRE ou l'AVOIR.
Si vos buts dans votre vie sont uniquement basés sur des éléments extérieurs à vous, vous allez créer un stress de plus en plus important en vous et également une insatisfaction croissante.
Lorsque vous cherchez à atteindre un but extérieur, c'est-à-dire à FAIRE quelque chose, c'est parce qu'inconsciemment vous pensez que cela va changer la manière dont vous vous sentez à long terme, donc en quelque sorte ce que vous ÊTES.
Seulement, ÊTRE et FAIRE sont 2 choses qui ne sont pas vraiment liées, vous pouvez être immensément riche, avoir le meilleur travail du monde, et être entouré de milliers d'amis, ce n'est pour cela que vous serez obligatoirement plus heureux.
Il y a une fausse croyance qui consiste à dire que si votre vie extérieure va bien, vous irez bien à l'intérieur, mais c'est FAUX.
“L'extérieur ne peut pas changer l'intérieur.”
Donc, si vous êtes convaincu qu'atteindre vos buts extérieurs ou changer vos conditions de vie va vous permettre de vous sentir mieux, vous risquez de vous sentir de plus en plus mal en les atteignant car ce n'est pas le cas.
“Les personnes riches sont aussi malheureuses que les personnes pauvres si elles ne se sont pas fixé des buts intérieurs, afin de modifier la manière dont elles se sentent, indépendamment des circonstances extérieures.”
Cela ne veut pas dire que vous ne devez rien vouloir changer dans vos conditions de vie. Vous pouvez tout à fait vous fixer des buts pour améliorer vos finances, construire une famille, avoir de nouveaux amis et un travail plus intéressant, mais ce n'est pas cela qui changera de manière certaine votre manière de vous sentir.
Le but ultime de tout être humain c'est de se sentir bien, pas d'avoir quelque chose...
Quelle place réservez-vous à l'ÊTRE ?
Examinez votre liste de buts.
Combien de buts sont des buts intérieurs ? C'est-à-dire des buts qui concernent des capacités que vous voulez développer, des nouvelles choses que vous voulez ÊTRE capable de faire des aptitudes que vous voulez acquérir ?
Vous êtes-vous fixé des buts comme :
Développer l'Amour en vous ?
Apprendre à devenir plus calme ?
Avoir davantage confiance en vous ?
Savoir mieux communiquer avec les autres ?
Savoir gérer les situations difficiles dans le calme ?
Devenir de plus en plus optimiste ?
Voir les solutions et non seulement les problèmes ?
Apprendre à aimer vos ennemis ?
Savoir vous relaxer en toute situation ?
Comprendre les mécanismes de la vie ?
Ces buts intérieurs sont opposés à des buts extérieurs dans le sens où ils sont définitifs.
Lorsque vous avez appris à mieux communiquer avec les gens et à vous attirer la sympathie des personnes que vous rencontrez, cette aptitude est définitive, un peu comme apprendre à parler une langue étrangère.
Lorsque vous avez appris à résonner en termes de solutions et non de problèmes, c'est la même chose.
“Lorsque vous progressez intérieurement, vous êtes fier de vous.”
Cette sensation de fierté se mélange avec un sentiment de sécurité intérieure car vous savez que ce que vous venez d'acquérir est stable et qu'il sera toujours avec vous dans le temps.
On ne peut pas vous l'enlever.
La notion de “JE” est en train de grandir, de s'étendre dans l'espace, vous êtes réellement en train de grandir, de vous développer d'une manière stable.
“En atteignant vos buts intérieurs, vous êtes en train de construire de solides fondations.”
Respectez un équilibre entre AVOIR et ÊTRE.
Si l'atteinte de vos buts extérieurs n'apporte pas le vrai équilibre intérieur que vous pouvez chercher, ils sont néanmoins importants dans notre société actuelle.
Il est donc important que vous ayez envie de changer votre environnement, d'acquérir des biens matériels, de faire grandir votre cercle d'amis ou d'avoir un nouveau travail.
Simplement, ces buts extérieurs ne doivent pas être une finalité en soi mais juste un moyen de vérification qui vous montre que vous êtes en train de progresser intérieurement.
Lorsque vous arriverez à doubler votre salaire mensuel d'une manière durable, vous ne devrez pas être satisfait par cela mais par ce que vous avez changé en vous et qui vous a permis d'y arriver.
Est-ce que vous comprenez la nuance ?
Si vous êtes attaché à la nouvelle voiture que vous venez de vous acheter, vous en devenez dépendant et avez peur de la perdre. Votre vie ne devient pas vraiment meilleure, ou seulement en apparence.
Par contre, si vous êtes satisfait parce que vous avez compris intérieurement les mécanismes qui amènent à pouvoir s'acheter une nouvelle voiture, par exemple savoir se fixer des buts et les atteindre, adopter la bonne attitude face à la vie et développer des nouvelles compétences intérieures qui vous ont permis de gagner plus d'argent qu'avant, vous ne célébrez pas votre nouvelle voiture mais la validation du fait que vous savez comment générer plus d'argent dans votre vie.
Comprenez-vous la différence ?
Le vrai but n'est pas d'avoir une nouvelle voiture, mais de comprendre le mécanisme qui permet de l'avoir. Lorsque vous avez compris le mécanisme, vous pouvez le généraliser sur d'autres choses, vous avez développé une nouvelle aptitude, celle d'atteindre vos buts. C'est une aptitude intérieure qui vous amène satisfaction intérieure et épanouissement durable.
Votre vie vient vraiment de changer grâce à VOUS.
“La qualité de votre vie doit dépendre de vos capacités intérieures – ce que vous ÊTES – et non pas uniquement de vos conditions de vie – ce que vous AVEZ.”
L'intérieur amène l'extérieur.
Lorsque vous faites de l'atteinte de vos buts intérieurs – c'est-à-dire ce que vous voulez être – une priorité, vous vous transformez intérieurement et durablement.
Votre potentiel intérieur change et vous êtes mieux “outillé” face à la vie.
Quelque chose de différent se dégage de vous, un peu comme si votre vibration intérieure s'était transformée et vous attirez des choses nouvelles dans votre vie.
Rappelez-vous que les choses les plus importantes dans votre vie ne vous arrivent pas de la manière que vous pouvez imaginer intellectuellement. Elles semblent comme dirigées par une force qui dépasse votre compréhension et votre champ d'action.
“Une force mystérieuse dirige votre vie.”
C'est grâce à cette force que certaines personnes ont de la chance, de bonnes opportunités, une bonne étoile et que d'autres semblent oubliées de la vie.
Vous attirez vos conditions de vie grâce à ce que vous êtes à l'intérieur de vous, en ayant votre propre développement intérieur en priorité. Vous rayonnez différemment et votre potentiel à atteindre ensuite tout ce qui vous plaira extérieurement sera décuplé.
Votre nouvelle vie est plus apaisante car vous savez que vous avez en vous toutes les clés du succès et que tout ne dépend que de vous...
“Votre vie extérieure est le reflet votre vie intérieure"
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Bruno est un passionné de développement personnel.
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Exercice pratique de transformation intérieure
Gardez toujours à l'esprit que c'est ce que vous changez en vous, et uniquement ce que vous changez en vous, qui changera vos conditions de vie, ce qu'il y a autour de vous.
Prenez l'habitude à l'avenir de toujours vous demander ce que vous devez ou pouvez changer à votre niveau lorsque vous voulez qu'une situation extérieure change. Et vous découvrirez que bien souvent, tout ne dépend que de vous.
Exercice
Ayez bien à l'esprit les changements que vous souhaitez opérer en vous. Changements qui vous permettront de préparer positivement le terrain pour accueillir votre nouvelle vie.
Assurez-vous que ces changements sont bien formulés de manière positive et qu'ils ne dépendent que de vous, que vous pouvez les provoquer si vous procédez de la bonne manière.
Installez-vous dans un endroit calme, en toute tranquillité, un endroit où vous vous sentez bien, en sécurité.
Prenez quelques minutes pour respirer calmement et pour calmer le flot de vos pensées. Laissez l'air entrer et sortir de vos poumons, suivez à l'aide de votre ressenti son trajet à l'inspiration et à l'expiration.
Remarquez que plus vous vous centrez sur votre respiration, plus elle devient ample, plus elle devient apaisante.
Continuez un instant encore...
Vous allez maintenant imaginer que dans un instant l'ordinateur qui est en vous et qui gère l'essentiel de vos comportements automatiques, votre subconscient, va comprendre ce que vous voulez changer et qu'il fera les ajustements nécessaires.
Par exemple, si les exercices précédents ont mis en évidence que vous deviez apprendre à être plus optimiste dans la vie pour pouvoir atteindre vos buts, vous allez imaginer que votre subconscient va comprendre cela dans un instant et qu'il va commencer à changer la manière dont vous fonctionnez intérieurement pour que ce but soit atteint.
“Votre subconscient comprend les émotions, il ne comprend pas les paroles.”
Pour que les changements se mettent en place en vous, vous devez impressionner votre subconscient. Vous devez faire que les émotions que vous allez ressentir fassent une empreinte au plus profond de vous, comme un pas dans la neige fraiche.
Prenez un changement que vous souhaitez obtenir, assurez-vous qu'il est formulé de manière positive, qu'il ne dépend que de vous et ressentez en vous comment vous vous sentirez lorsque ce changement sera réel, lorsqu'il sera vraiment là en vous, maintenant.
Si par exemple, vous pensez que vous avez besoin de plus de confiance en vous, vous devez ressentir en vous comment vous vous sentiriez si vous aviez réellement plus confiance en vous. Vous pouvez vous imaginer mentalement dans diverses situations et constater comment vous agissez maintenant que vous avez plus confiance en vous.
Vivez les situations de l'intérieur, ne vous contentez pas de les imaginer.
Plus vous mettrez d'intensité dans les émotions et sensations que vous ressentez, plus votre subconscient comprendra ce que vous voulez. Il intégrera le but que vous voulez obtenir et procédera aux ajustements intérieurs pour que vous réagissiez différemment dans la vie réelle la prochaine fois.
Si vous ressentez avec suffisamment d'émotions les changements positifs que vous désirez obtenir en vous, votre subconscient procédera quasi instantanément aux ajustements nécessaires pour vous reprogrammer différemment.
En imaginant qu'un des changements que vous ayez besoin de mettre en place, pour préparer le terrain à l'atteinte de vos buts, soit de vous lever plus tôt le matin, procédez de la même manière.
Imaginez intérieurement que vous vous levez facilement le matin, en pleine forme, totalement reposé. Vivez la scène intérieurement, ne vous contentez pas de l'imaginer intellectuellement. Ne vous observez pas de l'extérieur, comme si vous regardiez un film, mais soyez à l'intérieur de vous comme si vous étiez l'acteur principal de ce film. Les yeux fermés, visualisez le moment où vous vous levez. Voyez ce que vos yeux voient à ce moment-là, sentez avec vos mains ce que vous sentez à ce moment-là, entendez ce que vous entendez.
Vous devez totalement vous immerger dans la scène, tous vos sens doivent participer à cela. C'est totalement différent d'une simple pensée, c'est une réalité intérieure que vous êtes en train de créer, avec autant de réalisme que la réalité habituelle.
Et surtout : ressentez. Éprouvez une satisfaction intérieure de pouvoir vous lever ainsi aussi facilement. Sentez tout ce que vous sentiriez en vous si c'était réellement le cas, ici et maintenant, à cet instant précis.
Cet exercice est une préparation mentale. Vous êtes en train de conditionner votre cerveau pour qu'il agisse d'une manière différente dans certaines situations. Vous êtes en train de lui donner une expérience sensorielle de ce que vous visez, il pourra alors plus facilement vous faire changer vos comportements dans le futur car ce sera en un sens comme si vous l'aviez déjà fait.
Avez-vous déjà vu certains sportifs professionnels avant le départ d'une grande épreuve ? Certains comme ceux qui font du ski de descente, du bobsleigh, des figures à plusieurs dans le ciel pendant une chute libre, répètent mentalement les moindres gestes pour préparer leur cerveau. Ils créent une habitude virtuelle qui se transformera en un changement réel au moment de l'épreuve.
“Préparez-vous mentalement à être ce que vous voulez être.”
C'est la même chose pour vous, vous devez identifier les changements intérieurs que vous avez besoin de mettre en place pour devenir une personne capable d'atteindre ses buts à coup sûr et vous préparer mentalement, visualiser ces changements en vous, les ressentir, les vivre intensément jusqu'à ce qu'ils deviennent réalité extérieure.
"Tout ne dépend que de vous"
Soyez bien conscient que mettre en place, en vous, le contenu de votre liste ne dépend que de vous. Si vous avez besoin de mieux communiquer avec votre entourage par exemple, cela ne dépend que de vous. Concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire à votre niveau. C'est en changeant votre attitude intérieure, c'est en créant de nouvelles connexions neuronales, de nouvelles habitudes, une autre vision des choses, une manière différente de parler, d'écouter, de comprendre, que vous communiquerez différemment.
“Tout ne dépend que de VOUS.”
Acceptez cela, devenez responsable de vos changements, ressentez que tout ne dépend que de vous et agissez au lieu de penser que c'est un quelconque élément extérieur qui vous fera changer.
C'est vous qui avez le pouvoir de vous faire changer, ne donnez pas ce pouvoir aux circonstances ou aux autres, tout ne dépend que de vous.
Préparez-vous mentalement ainsi, pour chaque point, chaque aspect que vous avez identifié en vous, que vous avez besoin de changer et vous serez prêt à atteindre vos buts, quels qu'ils soient.
Ce travail intérieur, cet engagement de développement personnel, que vous passez avec vous-même, n'est pas uniquement lié à cet instant précis, il doit devenir une nouvelle manière de vivre pour vous, une nouvelle manière d'être.
Vous devez apprendre à vous observer, à chercher ce que vous pouvez changer en vous dans chaque situation de vie qui ne vous convient pas et à vous programmer pour le changer.
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Ayez bien à l'esprit les changements que vous souhaitez opérer en vous. Changements qui vous permettront de préparer positivement le terrain pour accueillir votre nouvelle vie.
Assurez-vous que ces changements sont bien formulés de manière positive et qu'ils ne dépendent que de vous, que vous pouvez les provoquer si vous procédez de la bonne manière.
Installez-vous dans un endroit calme, en toute tranquillité, un endroit où vous vous sentez bien, en sécurité.
Prenez quelques minutes pour respirer calmement et pour calmer le flot de vos pensées. Laissez l'air entrer et sortir de vos poumons, suivez à l'aide de votre ressenti son trajet à l'inspiration et à l'expiration.
Remarquez que plus vous vous centrez sur votre respiration, plus elle devient ample, plus elle devient apaisante.
Continuez un instant encore...
Vous allez maintenant imaginer que dans un instant l'ordinateur qui est en vous et qui gère l'essentiel de vos comportements automatiques, votre subconscient, va comprendre ce que vous voulez changer et qu'il fera les ajustements nécessaires.
Par exemple, si les exercices précédents ont mis en évidence que vous deviez apprendre à être plus optimiste dans la vie pour pouvoir atteindre vos buts, vous allez imaginer que votre subconscient va comprendre cela dans un instant et qu'il va commencer à changer la manière dont vous fonctionnez intérieurement pour que ce but soit atteint.
“Votre subconscient comprend les émotions, il ne comprend pas les paroles.”
Pour que les changements se mettent en place en vous, vous devez impressionner votre subconscient. Vous devez faire que les émotions que vous allez ressentir fassent une empreinte au plus profond de vous, comme un pas dans la neige fraiche.
Prenez un changement que vous souhaitez obtenir, assurez-vous qu'il est formulé de manière positive, qu'il ne dépend que de vous et ressentez en vous comment vous vous sentirez lorsque ce changement sera réel, lorsqu'il sera vraiment là en vous, maintenant.
Si par exemple, vous pensez que vous avez besoin de plus de confiance en vous, vous devez ressentir en vous comment vous vous sentiriez si vous aviez réellement plus confiance en vous. Vous pouvez vous imaginer mentalement dans diverses situations et constater comment vous agissez maintenant que vous avez plus confiance en vous.
Vivez les situations de l'intérieur, ne vous contentez pas de les imaginer.
Plus vous mettrez d'intensité dans les émotions et sensations que vous ressentez, plus votre subconscient comprendra ce que vous voulez. Il intégrera le but que vous voulez obtenir et procédera aux ajustements intérieurs pour que vous réagissiez différemment dans la vie réelle la prochaine fois.
Si vous ressentez avec suffisamment d'émotions les changements positifs que vous désirez obtenir en vous, votre subconscient procédera quasi instantanément aux ajustements nécessaires pour vous reprogrammer différemment.
En imaginant qu'un des changements que vous ayez besoin de mettre en place, pour préparer le terrain à l'atteinte de vos buts, soit de vous lever plus tôt le matin, procédez de la même manière.
Imaginez intérieurement que vous vous levez facilement le matin, en pleine forme, totalement reposé. Vivez la scène intérieurement, ne vous contentez pas de l'imaginer intellectuellement. Ne vous observez pas de l'extérieur, comme si vous regardiez un film, mais soyez à l'intérieur de vous comme si vous étiez l'acteur principal de ce film. Les yeux fermés, visualisez le moment où vous vous levez. Voyez ce que vos yeux voient à ce moment-là, sentez avec vos mains ce que vous sentez à ce moment-là, entendez ce que vous entendez.
Vous devez totalement vous immerger dans la scène, tous vos sens doivent participer à cela. C'est totalement différent d'une simple pensée, c'est une réalité intérieure que vous êtes en train de créer, avec autant de réalisme que la réalité habituelle.
Et surtout : ressentez. Éprouvez une satisfaction intérieure de pouvoir vous lever ainsi aussi facilement. Sentez tout ce que vous sentiriez en vous si c'était réellement le cas, ici et maintenant, à cet instant précis.
Cet exercice est une préparation mentale. Vous êtes en train de conditionner votre cerveau pour qu'il agisse d'une manière différente dans certaines situations. Vous êtes en train de lui donner une expérience sensorielle de ce que vous visez, il pourra alors plus facilement vous faire changer vos comportements dans le futur car ce sera en un sens comme si vous l'aviez déjà fait.
Avez-vous déjà vu certains sportifs professionnels avant le départ d'une grande épreuve ? Certains comme ceux qui font du ski de descente, du bobsleigh, des figures à plusieurs dans le ciel pendant une chute libre, répètent mentalement les moindres gestes pour préparer leur cerveau. Ils créent une habitude virtuelle qui se transformera en un changement réel au moment de l'épreuve.
“Préparez-vous mentalement à être ce que vous voulez être.”
C'est la même chose pour vous, vous devez identifier les changements intérieurs que vous avez besoin de mettre en place pour devenir une personne capable d'atteindre ses buts à coup sûr et vous préparer mentalement, visualiser ces changements en vous, les ressentir, les vivre intensément jusqu'à ce qu'ils deviennent réalité extérieure.
"Tout ne dépend que de vous"
Soyez bien conscient que mettre en place, en vous, le contenu de votre liste ne dépend que de vous. Si vous avez besoin de mieux communiquer avec votre entourage par exemple, cela ne dépend que de vous. Concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire à votre niveau. C'est en changeant votre attitude intérieure, c'est en créant de nouvelles connexions neuronales, de nouvelles habitudes, une autre vision des choses, une manière différente de parler, d'écouter, de comprendre, que vous communiquerez différemment.
“Tout ne dépend que de VOUS.”
Acceptez cela, devenez responsable de vos changements, ressentez que tout ne dépend que de vous et agissez au lieu de penser que c'est un quelconque élément extérieur qui vous fera changer.
C'est vous qui avez le pouvoir de vous faire changer, ne donnez pas ce pouvoir aux circonstances ou aux autres, tout ne dépend que de vous.
Préparez-vous mentalement ainsi, pour chaque point, chaque aspect que vous avez identifié en vous, que vous avez besoin de changer et vous serez prêt à atteindre vos buts, quels qu'ils soient.
Ce travail intérieur, cet engagement de développement personnel, que vous passez avec vous-même, n'est pas uniquement lié à cet instant précis, il doit devenir une nouvelle manière de vivre pour vous, une nouvelle manière d'être.
Vous devez apprendre à vous observer, à chercher ce que vous pouvez changer en vous dans chaque situation de vie qui ne vous convient pas et à vous programmer pour le changer.
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7 techniques pour mieux communiquer
Dans l'idéal, avoir une meilleure communication implique un changement chez chacun des communicants. Mais si vous commencez seul à vous y prendre autrement, vous verrez, votre interlocuteur suivra le mouvement.
Les spécialistes en communication conseillent plusieurs techniques qui toutes portent leurs fruits.
Les 7 techniques pour mieux communiquer
1. Apprenez à dire “Je”
Pour la “méthode Espère” qu'il a développée , Jacques Salomé a pris comme symbole une écharpe tendue entre les 2 interlocuteurs. Elle symbolise la relation entre eux. Pour que la communication ne s'envenime pas, chacun doit partir de son bout d'écharpe et non de celui de l'autre pour parler. Dans une discussion un peu animée avec quelqu'un (votre conjoint par exemple), vous avez sûrement tendance à partir de son bout d'écharpe et non du vôtre. Autrement dit, vous utilisez trop fréquemment le “tu” accusateur au lieu du “je”. “Tu m'as fait ceci ou cela”, “Tu n'y comprends rien”, “Tu es un égoïste qui ne pense qu'à toi”, “Tu salis tout”...
L'autre se sent agressé et va répondre en vous agressant. Préférez donc : “J'ai mal ressenti tel ou tel de tes comportements”, “J'aimerais tant être comprise”, “Je serais heureuse si tu t'inquiétais un peu plus de moi”, “je ressens de la colère quand je viens de nettoyer et que ça ne reste pas propre”...
Au lieu d'attaquer l'autre, vous lui communiquez vos sentiments. Cela évite qu'il réagisse par une contre-attaque. N'hésitez pas à bien développer ce que vous ressentez. Mieux vous vous expliquez, moins il y aura de malentendus.
2. Comment formuler une demande, un refus
Osez les annoncer de manière très explicite. Expliquez pourquoi vous voudriez ceci, pourquoi vous refusez cela. Si vous n'osez rien dire, rien demander, vous serez mal à l'aise, vous ruminerez et le comportement qui suivra trahira votre mécontentement.
Là encore, partez du “Je”. S'il passe des heures sur son ordinateur sans s'occuper de vous, ne dites pas d'un air exaspéré : “Mais arrête un peu ta machine !”, c'est la dispute garantie. Dites plutôt : “Quand tu me délaisses trop longtemps, je me sens seule et frustrée. Je comprends que tu adores pianoter sur ton PC, mais j'aimerais exister un peu plus pour toi. Ne pourrais-tu pas m'accorder quelques instants ?”
Même chose pour le refus. Votre belle-fille vous demande de lui prêter une robe. Répondez d'un ton chaleureux mais ferme : “Je suis désolée, mais je ne revois jamais ce que je te passe, ou alors en mauvais état. Je conçois bien que ça ne te fera pas plaisir, mais j'ai envie de garder cette robe pour moi.” Il est fort probable qu'elle vous répondra : “C'est pas grave !”
Attention ! Ne jamais porter un jugement sur la personne globale de votre interlocuteur (souvenez-vous des blessures narcissiques). Si vous dites à votre bru : “T'es trop souillon”, vous la blesserez et vous vous brouillerez.
3. Pratiquez l'écoute alternée
Savoir écouter est tout un art. Quand votre interlocuteur vous parle, branchez-vous totalement sur ce qu'il dit. Cela signifie évacuer vos pensées parasites, tout ce que son discours éveille en vous. Retenez votre précipitation à prendre la parole, la réflexion qui vous vient à la bouche. Si vous l'interrompez, comment pourra-t-il se faire comprendre jusqu'au bout ?
Soyez entièrement “pour lui”. Regardez-le, le regard est très important. À travers lui, l'autre peut vérifier votre attention. De plus, en le regardant, vous vous recentrez sur lui. Très utile lorsque, par exemple, vous êtes envahi de pulsions hostiles refoulées qui n'ont rien à voir avec lui, mais peuvent fausser votre écoute.
Si vous avez le moindre doute sur ce qu'il vient d'énoncer, reformuler ses phrases : “Si j'ai bien compris, tu trouves que...”
Lorsqu'il a fini de parler et seulement lorsqu'il a fini, exposez à votre tour vos idées. S'il s'est senti bien écouté, il agira spontanément de même manière avec vous. Pour en être sûr, vous pouvez également lui demander ce qu'il a compris. S'il vous interrompt, dites gentiment : “Je t'ai bien écouté, maintenant laisse-moi m'exprimer.”
4. L'empathie
Savoir se mettre à la place de l'autre. Écouter les faits que votre interlocuteur énonce est une chose, comprendre ce qui se passe dans sa tête une autre. Il faut entendre au-delà de la parole. Entendre sur quel registre il s'exprime. Entendre ce qu'il voudrait dire, mais ne peut pas dire. Entendre ce qui se cache derrière son agressivité.
L'observation de ses attitudes est une aide. Celle-ci renvoie au niveau émotionnel qui n'est pas toujours aisé à faire partager avec les mots.
Il vous fait un petit reproche d'un ton léger, mais ses gestes nerveux, un pli amer au coin de sa bouche, vous indiquent qu'il en a gros sur le cœur. S'il garde son malaise, celui-ci pourra éclater plus tard à propos de n'importe quoi. Aidez-le à l'exprimer. Demandez-lui ce qu'il ressent. Le comportement qu'il vous reproche a pu éveiller en lui une souffrance enfouie, une blessure non cicatrisée. Vous n'y êtes pour rien, mais en comprenant mieux ce qui se passe, vous saurez comment agir.
Si, par exemple, alors que vous vivez dans une certaine aisance, il vous reproche la moindre dépense, ne le traitez pas d'avare avant d'avoir compris ses motivations. Peut-être a-t-il souffert de graves privations pendant la dernière guerre. Ou a-t-il passé toute son enfance dans une extrême pauvreté. Ou encore, jeune adulte, il a peut-être eu de graves déboires financiers. Ceci expliquant cela.
5. Ne bloquez pas le dialogue
Si vous voulez qu'un échange ait lieu, posez des questions ouvertes. Ce sont celles auxquelles on doit répondre par autre chose que oui ou non. Les questions fermées paraissent être de pure forme et n'engagent pas l'autre à se confier. Elles n'ouvrent guère la porte au dialogue. Si, le voyant abattu, vous posez un vague “Tu es fatigué ?”, il répondra “Oui” ou “Un peu”. Mais si vous demandez : “Comment te sens-tu ce soir ?”, il se sentira interpellé et parlera plus facilement.
“Nous sommes aussi habitués à poser des questions qui induisent la réponse, explique Jacques Salomé : “Et tu n'as pas trouvé cela injuste ?”, “Pourquoi ne le quittes-tu pas ?” Vous pensez à sa place... tout le contraire de l'empathie. Pareil lorsque vous le coupez dans son élan pour placer votre opinion : “Je ne me sens pas bien ce soir...”, “Normal, tu as trop travaillé.” Et si ce n'était pas du tout ce qu'il voulait vous dire ?”
6. La métacommunication
Derrière ce terme un peu barbare se cache une idée toute simple : communiquer sur la communication. Quand celle-ci pose trop de problèmes, quand on n'arrive pas à se comprendre, il faut repartir autrement.
On quitte alors le contenu du dialogue pour s'attacher à sa forme. Prenez l'initiative de faire ce pas. Si votre interlocuteur vous agresse d'emblée, si le ton monte, stoppez immédiatement la discussion et dites : “J'aimerais que nous puissions nous expliquer autrement. Nous pourrions nous accorder pour parler à tour de rôle. Je suis tout prêt à t'écouter, mais j'ai besoin que toi aussi tu m'écoutes et essaie de me comprendre.”
À chaque instant de la conversation, vous pouvez employer ce système. Par exemple : “Je sais que tu n'aimes pas que j'aborde tel sujet, mais il fausse notre relation et il est préférable de vider l'abcès. J'aimerais que calmement nous en fassions le tour pour régler définitivement le problème.”
Métacommuniquer, c'est aussi essayer de lever les ambiguïtés en demandant à l'interlocuteur ce qu'il a voulu signifier par tel mot, tel geste... surtout lorsque les 2 sont en désaccord. N'hésitez pas à dire : “Pourquoi avais-tu cet air froid quand tu as dit que tu étais ravi de me retrouver ?” Vous apprendrez peut-être qu'il était réellement ravi, mais qu'en même temps, il était contrarié par autre chose.
7. Négociez
Comme dit la maxime : on ne peut pas tout avoir et rien payer. Dit autrement, nous devons toujours faire des concessions. Sans elles, les relations ne peuvent pas fonctionner harmonieusement.
Les vendeurs connaissent bien la négociation qui consiste pour eux à lâcher un peu de lest, à proposer des avantages contre l'inconvénient (le prix).
Les parents d'adolescents doivent sans cesse la pratiquer : “Je veux bien que tu sortes, à condition que tu ne rentres pas après telle heure.”
Dans un couple, c'est pareil. Il ne doit y avoir ni gagnant ni perdant, mais 2 personnes qui trouvent chacune un bénéfice au prix d'un renoncement : “Ok, je ne dis rien si tu regardes tous les matchs sportifs à la télé, et je me prive de mes émissions, mais en compensation tu supportes les autres jours que je choisisse moi-même le programme.”
Tout, toujours est à négocier. Pour les tâches quotidiennes, pour les sorties, pour les petites manies de chacun, pour les dépenses. Chacun doit tenir compte de ses priorités et de celles de l'autre. Lâchez du lest envers ce qui, pour vous, n'est pas fondamental, mais qui, à ses yeux, prend une importance démesurée. Respectez ses valeurs et demandez-lui de respecter les vôtres. C'est à ce prix que les conflits et le mal-être qu'ils entraînent, disparaîtront.
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Les 7 techniques pour mieux communiquer
1. Apprenez à dire “Je”
Pour la “méthode Espère” qu'il a développée , Jacques Salomé a pris comme symbole une écharpe tendue entre les 2 interlocuteurs. Elle symbolise la relation entre eux. Pour que la communication ne s'envenime pas, chacun doit partir de son bout d'écharpe et non de celui de l'autre pour parler. Dans une discussion un peu animée avec quelqu'un (votre conjoint par exemple), vous avez sûrement tendance à partir de son bout d'écharpe et non du vôtre. Autrement dit, vous utilisez trop fréquemment le “tu” accusateur au lieu du “je”. “Tu m'as fait ceci ou cela”, “Tu n'y comprends rien”, “Tu es un égoïste qui ne pense qu'à toi”, “Tu salis tout”...
L'autre se sent agressé et va répondre en vous agressant. Préférez donc : “J'ai mal ressenti tel ou tel de tes comportements”, “J'aimerais tant être comprise”, “Je serais heureuse si tu t'inquiétais un peu plus de moi”, “je ressens de la colère quand je viens de nettoyer et que ça ne reste pas propre”...
Au lieu d'attaquer l'autre, vous lui communiquez vos sentiments. Cela évite qu'il réagisse par une contre-attaque. N'hésitez pas à bien développer ce que vous ressentez. Mieux vous vous expliquez, moins il y aura de malentendus.
2. Comment formuler une demande, un refus
Osez les annoncer de manière très explicite. Expliquez pourquoi vous voudriez ceci, pourquoi vous refusez cela. Si vous n'osez rien dire, rien demander, vous serez mal à l'aise, vous ruminerez et le comportement qui suivra trahira votre mécontentement.
Là encore, partez du “Je”. S'il passe des heures sur son ordinateur sans s'occuper de vous, ne dites pas d'un air exaspéré : “Mais arrête un peu ta machine !”, c'est la dispute garantie. Dites plutôt : “Quand tu me délaisses trop longtemps, je me sens seule et frustrée. Je comprends que tu adores pianoter sur ton PC, mais j'aimerais exister un peu plus pour toi. Ne pourrais-tu pas m'accorder quelques instants ?”
Même chose pour le refus. Votre belle-fille vous demande de lui prêter une robe. Répondez d'un ton chaleureux mais ferme : “Je suis désolée, mais je ne revois jamais ce que je te passe, ou alors en mauvais état. Je conçois bien que ça ne te fera pas plaisir, mais j'ai envie de garder cette robe pour moi.” Il est fort probable qu'elle vous répondra : “C'est pas grave !”
Attention ! Ne jamais porter un jugement sur la personne globale de votre interlocuteur (souvenez-vous des blessures narcissiques). Si vous dites à votre bru : “T'es trop souillon”, vous la blesserez et vous vous brouillerez.
3. Pratiquez l'écoute alternée
Savoir écouter est tout un art. Quand votre interlocuteur vous parle, branchez-vous totalement sur ce qu'il dit. Cela signifie évacuer vos pensées parasites, tout ce que son discours éveille en vous. Retenez votre précipitation à prendre la parole, la réflexion qui vous vient à la bouche. Si vous l'interrompez, comment pourra-t-il se faire comprendre jusqu'au bout ?
Soyez entièrement “pour lui”. Regardez-le, le regard est très important. À travers lui, l'autre peut vérifier votre attention. De plus, en le regardant, vous vous recentrez sur lui. Très utile lorsque, par exemple, vous êtes envahi de pulsions hostiles refoulées qui n'ont rien à voir avec lui, mais peuvent fausser votre écoute.
Si vous avez le moindre doute sur ce qu'il vient d'énoncer, reformuler ses phrases : “Si j'ai bien compris, tu trouves que...”
Lorsqu'il a fini de parler et seulement lorsqu'il a fini, exposez à votre tour vos idées. S'il s'est senti bien écouté, il agira spontanément de même manière avec vous. Pour en être sûr, vous pouvez également lui demander ce qu'il a compris. S'il vous interrompt, dites gentiment : “Je t'ai bien écouté, maintenant laisse-moi m'exprimer.”
4. L'empathie
Savoir se mettre à la place de l'autre. Écouter les faits que votre interlocuteur énonce est une chose, comprendre ce qui se passe dans sa tête une autre. Il faut entendre au-delà de la parole. Entendre sur quel registre il s'exprime. Entendre ce qu'il voudrait dire, mais ne peut pas dire. Entendre ce qui se cache derrière son agressivité.
L'observation de ses attitudes est une aide. Celle-ci renvoie au niveau émotionnel qui n'est pas toujours aisé à faire partager avec les mots.
Il vous fait un petit reproche d'un ton léger, mais ses gestes nerveux, un pli amer au coin de sa bouche, vous indiquent qu'il en a gros sur le cœur. S'il garde son malaise, celui-ci pourra éclater plus tard à propos de n'importe quoi. Aidez-le à l'exprimer. Demandez-lui ce qu'il ressent. Le comportement qu'il vous reproche a pu éveiller en lui une souffrance enfouie, une blessure non cicatrisée. Vous n'y êtes pour rien, mais en comprenant mieux ce qui se passe, vous saurez comment agir.
Si, par exemple, alors que vous vivez dans une certaine aisance, il vous reproche la moindre dépense, ne le traitez pas d'avare avant d'avoir compris ses motivations. Peut-être a-t-il souffert de graves privations pendant la dernière guerre. Ou a-t-il passé toute son enfance dans une extrême pauvreté. Ou encore, jeune adulte, il a peut-être eu de graves déboires financiers. Ceci expliquant cela.
5. Ne bloquez pas le dialogue
Si vous voulez qu'un échange ait lieu, posez des questions ouvertes. Ce sont celles auxquelles on doit répondre par autre chose que oui ou non. Les questions fermées paraissent être de pure forme et n'engagent pas l'autre à se confier. Elles n'ouvrent guère la porte au dialogue. Si, le voyant abattu, vous posez un vague “Tu es fatigué ?”, il répondra “Oui” ou “Un peu”. Mais si vous demandez : “Comment te sens-tu ce soir ?”, il se sentira interpellé et parlera plus facilement.
“Nous sommes aussi habitués à poser des questions qui induisent la réponse, explique Jacques Salomé : “Et tu n'as pas trouvé cela injuste ?”, “Pourquoi ne le quittes-tu pas ?” Vous pensez à sa place... tout le contraire de l'empathie. Pareil lorsque vous le coupez dans son élan pour placer votre opinion : “Je ne me sens pas bien ce soir...”, “Normal, tu as trop travaillé.” Et si ce n'était pas du tout ce qu'il voulait vous dire ?”
6. La métacommunication
Derrière ce terme un peu barbare se cache une idée toute simple : communiquer sur la communication. Quand celle-ci pose trop de problèmes, quand on n'arrive pas à se comprendre, il faut repartir autrement.
On quitte alors le contenu du dialogue pour s'attacher à sa forme. Prenez l'initiative de faire ce pas. Si votre interlocuteur vous agresse d'emblée, si le ton monte, stoppez immédiatement la discussion et dites : “J'aimerais que nous puissions nous expliquer autrement. Nous pourrions nous accorder pour parler à tour de rôle. Je suis tout prêt à t'écouter, mais j'ai besoin que toi aussi tu m'écoutes et essaie de me comprendre.”
À chaque instant de la conversation, vous pouvez employer ce système. Par exemple : “Je sais que tu n'aimes pas que j'aborde tel sujet, mais il fausse notre relation et il est préférable de vider l'abcès. J'aimerais que calmement nous en fassions le tour pour régler définitivement le problème.”
Métacommuniquer, c'est aussi essayer de lever les ambiguïtés en demandant à l'interlocuteur ce qu'il a voulu signifier par tel mot, tel geste... surtout lorsque les 2 sont en désaccord. N'hésitez pas à dire : “Pourquoi avais-tu cet air froid quand tu as dit que tu étais ravi de me retrouver ?” Vous apprendrez peut-être qu'il était réellement ravi, mais qu'en même temps, il était contrarié par autre chose.
7. Négociez
Comme dit la maxime : on ne peut pas tout avoir et rien payer. Dit autrement, nous devons toujours faire des concessions. Sans elles, les relations ne peuvent pas fonctionner harmonieusement.
Les vendeurs connaissent bien la négociation qui consiste pour eux à lâcher un peu de lest, à proposer des avantages contre l'inconvénient (le prix).
Les parents d'adolescents doivent sans cesse la pratiquer : “Je veux bien que tu sortes, à condition que tu ne rentres pas après telle heure.”
Dans un couple, c'est pareil. Il ne doit y avoir ni gagnant ni perdant, mais 2 personnes qui trouvent chacune un bénéfice au prix d'un renoncement : “Ok, je ne dis rien si tu regardes tous les matchs sportifs à la télé, et je me prive de mes émissions, mais en compensation tu supportes les autres jours que je choisisse moi-même le programme.”
Tout, toujours est à négocier. Pour les tâches quotidiennes, pour les sorties, pour les petites manies de chacun, pour les dépenses. Chacun doit tenir compte de ses priorités et de celles de l'autre. Lâchez du lest envers ce qui, pour vous, n'est pas fondamental, mais qui, à ses yeux, prend une importance démesurée. Respectez ses valeurs et demandez-lui de respecter les vôtres. C'est à ce prix que les conflits et le mal-être qu'ils entraînent, disparaîtront.
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Méfiez vous de votre héritage mental
Les faits divers montrent fréquemment que les adultes violents ont souvent vécus, enfants, dans la violence.
Sans aller jusque-là, une enfance dans un milieu conflictuel, peut, plus tard, être reproduite par une sorte de besoin du conflit. Difficile d'échapper à l'ambiance dans laquelle on a vécu petit. Même si elle nous a rendu malheureux, on s'arrange tout à fait inconsciemment pour la reproduire.
Ma peur de l'abandon due aux absences répétées de ma mère m'a pourtant amenée longtemps à me mettre en situation de me faire littéralement plaquer par mes petits copains ou mes amies. Sans rien y comprendre, et en souffrant terriblement, je rejouais le rôle de “celle qu'on abandonne”. Mon comportement amenait effectivement les gens que j'aimais à me délaisser. C'était comme s'il me fallait revivre et revivre ma situation enfantine.
Le récent livre de Marie Nimier , fille d'un écrivain célèbre (Roger Nimier), illustre bien les forces qui nous gouvernent à notre insu. Lors de sa naissance, son père écrivait à un ami : “Au fait, Nadine (sa femme) a eu une fille hier. J'ai été immédiatement la noyer dans la Seine pour ne plus en entendre parler.” C'était une plaisanterie de mauvais goût, mais tout de même révélatrice de son peu d'amour paternel.
25 ans plus tard, Marie Nimier fit une tentative de suicide en... se jetant dans la Seine. Comme si elle s'était sentie obligée de mettre à exécution la phrase de son père.
La jeune femme se questionne également sur un autre phénomène : l'énorme difficulté qu'elle a eu à obtenir son permis de conduire, son impossibilité de freiner à temps. Or, son père a été tué dans l'accident d'une voiture rapide, à cause d'un coup de frein ayant provoqué un dérapage. Cette “coïncidence” est évidemment troublante.
L'héritage familial est une chose étonnante. Il ne s'agit pas de génétique, mais d'une sorte d'assimilation mentale. De génération en génération, des comportements peuvent se transmettre de manière inconsciente.
Les “psys” spécialisés dans les problèmes familiaux, voient fréquemment des familles où par exemple l'un des enfants (le fils aîné, la sœur cadette, etc.) a le même comportement que celui de la génération précédente et même celle d'avant et encore d'avant.
Dans ma famille paysanne, la benjamine, et seulement elle, se marginalisait par rapport à son milieu d'origine. On voit parfois au sein de certaines familles, l'un des enfants être considéré par les autres comme le raté. Et depuis des lustres, il y en a un qui prend cette place. Et si au départ, il n'avait rien pour être un raté, il le devient réellement.
Sans le savoir, vous reproduisez peut-être le comportement d'un aîné (père, mère, oncle, tante). Bien entendu, cette répétition échappe à votre conscience. Quand le comportement est positif, c'est tant mieux. Hélas ! il ne l'est pas toujours. Et ce n'est qu'en trouvant sa source qu'il devient possible de s'en débarrasser.
Je connais une famille où toutes les femmes, depuis l'arrière-grand-mère, ont épousé un homme séduisant, se révélant peu de temps après être un alcoolique. Après avoir fait son génogramme, la dernière, méfiante, s'est séparée d'un fiancé charmeur, mais qui buvait un peu trop. Elle a ensuite vécu 5 ans avec son actuel mari avant de l'épouser et d'avoir un enfant, sûre alors qu'elle échappait à la malédiction.
Car, en fait, tout ce qui apparaît comme une fatalité n'en est en réalité pas une. À tout âge, on a la possibilité d'infléchir le cours de ce qui paraît être le destin. Il suffit de prendre conscience de ce qui vous appartient vraiment dans votre caractère et de ce qu'inconsciemment vous reprenez de celui de vos aînés.
Pour découvrir quelle attitude vous reproduisez et vous en débarrasser, 2 techniques sont fort utiles.
1re technique : L'introspection
Demandez-vous :
– Est-ce que ce que je fais là vient vraiment de moi ou est-ce que je le fais, poussé par quelque chose que je ne comprends pas.
– Comment étaient ma mère, ma grand-mère (mon père, mon grand-père) lorsque j'étais petite ?
– Qu'est ce qui me déplaisait en elles (ou en eux).
– De quoi ai-je souffert ?
– Ne suis-je pas pareille avec mon mari, mes enfants, mes petits-enfants ?
Essayez de repérer les coïncidences troublantes. Par exemple :
– Un décès mal vécu dans l'enfance peut produire des comportements que rien n'explique.
– Vous pouvez être bloqué dans un domaine, dans lequel l'un de vos parents ou grands-parents avait échoué.
– Mettons que votre père ait fait faillite quand vous étiez petit. Plus tard, vous avez évité tout ce qui avait rapport avec la comptabilité. Et encore maintenant, la gestion de vos comptes vous stresse. En faisant le rapport avec la faillite, vous vous libérerez peut-être d'un grand poids.
– Admettons Madame, que vous fassiez partie d'une lignée d'anxieux. Votre mère hyperprotégée est devenue une mère hyperprotectrice. À votre tour, vous avez surprotégé vos enfants qui eux-mêmes reprennent le système avec les leurs. En prenant conscience de cela, vous pouvez “lâcher” un peu vos enfants adultes, moins vous angoisser à leur sujet. De plus, vous pouvez aussi leur expliquer qu'ils doivent se dégager de votre influence et être moins protecteurs avec leurs descendants.
2è technique : Le génogramme
C'est une technique à la fois instructive et amusante qui permet d'élargir les comportements reproducteurs à toute la lignée familiale.
• Tracez votre arbre généalogique en remontant, si possible à 3 générations (de vous-même à vos grands-parents paternels et maternels) et pour chacune des lignées maternelles et paternelles, inscrivez tous les collatéraux, du moins ceux dont vous avez gardé le souvenir (du grand-oncle à la petite cousine).
• Sur le schéma, indiquez, si vous le pouvez, les noms, prénoms, date de naissance, de mariage, de décès ainsi que leur cause, les catégories socioprofessionnelles, les lieux d'habitation.
• À chaque personne inscrite, donnez 5 qualificatifs la décrivant (ce que vous pensez ou vous souvenez d'elle ou ce que vous en avez entendu dire). Il s'agit en fait de donner le plus d'informations possibles sur ces personnes.
• Essayez également de vous rappeler les liens existants entre toutes ces membres (clans formés, conflits, ruptures, exclusions, etc.). Y a-t-il eu des divorces, des remariages ?
Écrire noir sur blanc l'histoire familiale prend un sens. Confrontés les uns aux autres, les événements, les dates parlent. Il est édifiant, par exemple, de retrouver chez plusieurs membres de la famille, une même tendance à l'instabilité, ou à la dépression, des choix amoureux identiques, des mariages ratés, un célibat prolongé, des comportements destructeurs, des réussites éclatantes suivies d'échecs, etc.
L'intérêt du génogramme est d'essayer de retrouver chez vos ascendants vos propres caractéristiques. Les hésitations, les ratures, les émotions inexpliquées sont des indices à prendre en compte. Ils signalent que quelque chose vous dérange, quelque chose que vous ne pouvez ou ne voulez pas voir. Il s'agit souvent d'un comportement que vous répétez inconsciemment, générateur de soucis.
Le génogramme peut vous aider à progresser dans la connaissance de vous-même, à comprendre que tel ou tel comportement est hérité. À partir de là, il vous sera mieux possible de modifier votre façon d'être.
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Sans aller jusque-là, une enfance dans un milieu conflictuel, peut, plus tard, être reproduite par une sorte de besoin du conflit. Difficile d'échapper à l'ambiance dans laquelle on a vécu petit. Même si elle nous a rendu malheureux, on s'arrange tout à fait inconsciemment pour la reproduire.
Ma peur de l'abandon due aux absences répétées de ma mère m'a pourtant amenée longtemps à me mettre en situation de me faire littéralement plaquer par mes petits copains ou mes amies. Sans rien y comprendre, et en souffrant terriblement, je rejouais le rôle de “celle qu'on abandonne”. Mon comportement amenait effectivement les gens que j'aimais à me délaisser. C'était comme s'il me fallait revivre et revivre ma situation enfantine.
Le récent livre de Marie Nimier , fille d'un écrivain célèbre (Roger Nimier), illustre bien les forces qui nous gouvernent à notre insu. Lors de sa naissance, son père écrivait à un ami : “Au fait, Nadine (sa femme) a eu une fille hier. J'ai été immédiatement la noyer dans la Seine pour ne plus en entendre parler.” C'était une plaisanterie de mauvais goût, mais tout de même révélatrice de son peu d'amour paternel.
25 ans plus tard, Marie Nimier fit une tentative de suicide en... se jetant dans la Seine. Comme si elle s'était sentie obligée de mettre à exécution la phrase de son père.
La jeune femme se questionne également sur un autre phénomène : l'énorme difficulté qu'elle a eu à obtenir son permis de conduire, son impossibilité de freiner à temps. Or, son père a été tué dans l'accident d'une voiture rapide, à cause d'un coup de frein ayant provoqué un dérapage. Cette “coïncidence” est évidemment troublante.
L'héritage familial est une chose étonnante. Il ne s'agit pas de génétique, mais d'une sorte d'assimilation mentale. De génération en génération, des comportements peuvent se transmettre de manière inconsciente.
Les “psys” spécialisés dans les problèmes familiaux, voient fréquemment des familles où par exemple l'un des enfants (le fils aîné, la sœur cadette, etc.) a le même comportement que celui de la génération précédente et même celle d'avant et encore d'avant.
Dans ma famille paysanne, la benjamine, et seulement elle, se marginalisait par rapport à son milieu d'origine. On voit parfois au sein de certaines familles, l'un des enfants être considéré par les autres comme le raté. Et depuis des lustres, il y en a un qui prend cette place. Et si au départ, il n'avait rien pour être un raté, il le devient réellement.
Sans le savoir, vous reproduisez peut-être le comportement d'un aîné (père, mère, oncle, tante). Bien entendu, cette répétition échappe à votre conscience. Quand le comportement est positif, c'est tant mieux. Hélas ! il ne l'est pas toujours. Et ce n'est qu'en trouvant sa source qu'il devient possible de s'en débarrasser.
Je connais une famille où toutes les femmes, depuis l'arrière-grand-mère, ont épousé un homme séduisant, se révélant peu de temps après être un alcoolique. Après avoir fait son génogramme, la dernière, méfiante, s'est séparée d'un fiancé charmeur, mais qui buvait un peu trop. Elle a ensuite vécu 5 ans avec son actuel mari avant de l'épouser et d'avoir un enfant, sûre alors qu'elle échappait à la malédiction.
Car, en fait, tout ce qui apparaît comme une fatalité n'en est en réalité pas une. À tout âge, on a la possibilité d'infléchir le cours de ce qui paraît être le destin. Il suffit de prendre conscience de ce qui vous appartient vraiment dans votre caractère et de ce qu'inconsciemment vous reprenez de celui de vos aînés.
Pour découvrir quelle attitude vous reproduisez et vous en débarrasser, 2 techniques sont fort utiles.
1re technique : L'introspection
Demandez-vous :
– Est-ce que ce que je fais là vient vraiment de moi ou est-ce que je le fais, poussé par quelque chose que je ne comprends pas.
– Comment étaient ma mère, ma grand-mère (mon père, mon grand-père) lorsque j'étais petite ?
– Qu'est ce qui me déplaisait en elles (ou en eux).
– De quoi ai-je souffert ?
– Ne suis-je pas pareille avec mon mari, mes enfants, mes petits-enfants ?
Essayez de repérer les coïncidences troublantes. Par exemple :
– Un décès mal vécu dans l'enfance peut produire des comportements que rien n'explique.
– Vous pouvez être bloqué dans un domaine, dans lequel l'un de vos parents ou grands-parents avait échoué.
– Mettons que votre père ait fait faillite quand vous étiez petit. Plus tard, vous avez évité tout ce qui avait rapport avec la comptabilité. Et encore maintenant, la gestion de vos comptes vous stresse. En faisant le rapport avec la faillite, vous vous libérerez peut-être d'un grand poids.
– Admettons Madame, que vous fassiez partie d'une lignée d'anxieux. Votre mère hyperprotégée est devenue une mère hyperprotectrice. À votre tour, vous avez surprotégé vos enfants qui eux-mêmes reprennent le système avec les leurs. En prenant conscience de cela, vous pouvez “lâcher” un peu vos enfants adultes, moins vous angoisser à leur sujet. De plus, vous pouvez aussi leur expliquer qu'ils doivent se dégager de votre influence et être moins protecteurs avec leurs descendants.
2è technique : Le génogramme
C'est une technique à la fois instructive et amusante qui permet d'élargir les comportements reproducteurs à toute la lignée familiale.
• Tracez votre arbre généalogique en remontant, si possible à 3 générations (de vous-même à vos grands-parents paternels et maternels) et pour chacune des lignées maternelles et paternelles, inscrivez tous les collatéraux, du moins ceux dont vous avez gardé le souvenir (du grand-oncle à la petite cousine).
• Sur le schéma, indiquez, si vous le pouvez, les noms, prénoms, date de naissance, de mariage, de décès ainsi que leur cause, les catégories socioprofessionnelles, les lieux d'habitation.
• À chaque personne inscrite, donnez 5 qualificatifs la décrivant (ce que vous pensez ou vous souvenez d'elle ou ce que vous en avez entendu dire). Il s'agit en fait de donner le plus d'informations possibles sur ces personnes.
• Essayez également de vous rappeler les liens existants entre toutes ces membres (clans formés, conflits, ruptures, exclusions, etc.). Y a-t-il eu des divorces, des remariages ?
Écrire noir sur blanc l'histoire familiale prend un sens. Confrontés les uns aux autres, les événements, les dates parlent. Il est édifiant, par exemple, de retrouver chez plusieurs membres de la famille, une même tendance à l'instabilité, ou à la dépression, des choix amoureux identiques, des mariages ratés, un célibat prolongé, des comportements destructeurs, des réussites éclatantes suivies d'échecs, etc.
L'intérêt du génogramme est d'essayer de retrouver chez vos ascendants vos propres caractéristiques. Les hésitations, les ratures, les émotions inexpliquées sont des indices à prendre en compte. Ils signalent que quelque chose vous dérange, quelque chose que vous ne pouvez ou ne voulez pas voir. Il s'agit souvent d'un comportement que vous répétez inconsciemment, générateur de soucis.
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Comment font ceux qui n'ont pas de problèmes avec leur estime d'eux-mêmes ?
Danielle est une petite bonne femme de 62 ans, un peu trop ronde, aux traits assez ingrats, n'ayant pour tout bagage scolaire qu'un certificat d'études, mariée à un plombier maintenant à la retraite et vivant dans une modeste maison en province. Apparemment, elle n'a rien pour briller et pourtant elle dégage une telle aisance qu'elle irradie.
Inscrite dans plusieurs associations, elle a l'occasion de fréquenter des personnes de tous milieux. Croyez-vous qu'elle soit gênée de discuter par exemple avec des notables archi-diplômés ? Pas du tout. Elle est aussi à l'aise avec eux qu'avec ses autres connaissances.
Son secret ? Ne pas se casser la tête pour ses incompétences. Quand elle ne comprend pas, elle n'hésite pas à révéler son ignorance en posant des questions. Quand, manifestement, elle dit une bêtise, elle s'esclaffe en proclamant qu'avec son “Certif”, elle ne peut pas tout savoir.
Si elle invite des amis, elle prévient qu'elle n'est pas une excellente cuisinière et qu'ils devront faire avec. Quand on lui montre qu'elle a commis une erreur quelconque, elle le reconnaît sans se vexer. Elle sait tellement être nature, sans chichis et sans honte qu'on ne peut que lui pardonner.
Un échec ne lui laisse qu'un petit goût amer qu'elle surmonte très vite. Et la voilà repartie affirmant sans se démonter : “Il n'y a que ceux qui ne font rien qui n'échouent pas.” Son physique ne la tracasse pas plus. “Je suis une petite boulotte, affirme-t-elle en riant, et alors, il faut de tout pour faire un monde. J'ai plu à mon mari et je lui plais toujours. Et regardez, c'est un bel homme !”
Inutile de vous dire que Danielle est très entourée. Pourtant, elle n'hésite pas à dire aux autres ce qu'elle pense d'eux. Mais sa franchise plaît. En fait, tout en elle attire la sympathie.
Heureux les gens qui traversent la vie sans se tracasser sur leur valeur. Au lieu de raisonner à partir de leurs échecs, de leurs limites, ils raisonnent à partir de leurs succès, de leurs points forts.
Si Danielle était nulle à l'école, elle a très vite constaté qu'elle savait se faire apprécier par ses mimiques, son humour, sa spontanéité. Elle a utilisé cette qualité pour s'insérer dans la vie sociale. Elle a pris le risque de côtoyer des gens importants et a vite vaincu son handicap intellectuel, se rendant compte que même sans études, elle était intelligente. Avec sa drôlerie, elle a également contourné le handicap physique, choisissant le naturel pour plaire – ce qui lui a réussi.
S'aimer tel qu'on est, rend la vie et les relations plus faciles.
Mais attention ! Cela n'implique pas de se complaire dans ses défauts. Les reconnaître sans en faire un plat est une chose, ne pas chercher à s'améliorer une autre. Paradoxalement, plus on s'estime plus on cherche à progresser. En fait, ceci est normal. Quand on est capable de pointer ses failles sans s'effondrer, on est aussi capable de chercher à s'améliorer. Notamment sur les points essentiels. Danielle qui était un peu soupe au lait a réussi à dominer ce travers, car il nuisait à son couple.
Il ne faut pas confondre la personnalité de Danielle avec celle des gens qui ont une trop haute opinion d'eux-mêmes. Bardés de certitudes, se prenant pour des êtres supérieurs, ils peuvent irriter leur entourage. Si eux-mêmes ne souffrent pas, ils ont des attitudes, notamment la condescendance, blessante pour ceux qu'ils côtoient.
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Inscrite dans plusieurs associations, elle a l'occasion de fréquenter des personnes de tous milieux. Croyez-vous qu'elle soit gênée de discuter par exemple avec des notables archi-diplômés ? Pas du tout. Elle est aussi à l'aise avec eux qu'avec ses autres connaissances.
Son secret ? Ne pas se casser la tête pour ses incompétences. Quand elle ne comprend pas, elle n'hésite pas à révéler son ignorance en posant des questions. Quand, manifestement, elle dit une bêtise, elle s'esclaffe en proclamant qu'avec son “Certif”, elle ne peut pas tout savoir.
Si elle invite des amis, elle prévient qu'elle n'est pas une excellente cuisinière et qu'ils devront faire avec. Quand on lui montre qu'elle a commis une erreur quelconque, elle le reconnaît sans se vexer. Elle sait tellement être nature, sans chichis et sans honte qu'on ne peut que lui pardonner.
Un échec ne lui laisse qu'un petit goût amer qu'elle surmonte très vite. Et la voilà repartie affirmant sans se démonter : “Il n'y a que ceux qui ne font rien qui n'échouent pas.” Son physique ne la tracasse pas plus. “Je suis une petite boulotte, affirme-t-elle en riant, et alors, il faut de tout pour faire un monde. J'ai plu à mon mari et je lui plais toujours. Et regardez, c'est un bel homme !”
Inutile de vous dire que Danielle est très entourée. Pourtant, elle n'hésite pas à dire aux autres ce qu'elle pense d'eux. Mais sa franchise plaît. En fait, tout en elle attire la sympathie.
Heureux les gens qui traversent la vie sans se tracasser sur leur valeur. Au lieu de raisonner à partir de leurs échecs, de leurs limites, ils raisonnent à partir de leurs succès, de leurs points forts.
Si Danielle était nulle à l'école, elle a très vite constaté qu'elle savait se faire apprécier par ses mimiques, son humour, sa spontanéité. Elle a utilisé cette qualité pour s'insérer dans la vie sociale. Elle a pris le risque de côtoyer des gens importants et a vite vaincu son handicap intellectuel, se rendant compte que même sans études, elle était intelligente. Avec sa drôlerie, elle a également contourné le handicap physique, choisissant le naturel pour plaire – ce qui lui a réussi.
S'aimer tel qu'on est, rend la vie et les relations plus faciles.
Mais attention ! Cela n'implique pas de se complaire dans ses défauts. Les reconnaître sans en faire un plat est une chose, ne pas chercher à s'améliorer une autre. Paradoxalement, plus on s'estime plus on cherche à progresser. En fait, ceci est normal. Quand on est capable de pointer ses failles sans s'effondrer, on est aussi capable de chercher à s'améliorer. Notamment sur les points essentiels. Danielle qui était un peu soupe au lait a réussi à dominer ce travers, car il nuisait à son couple.
Il ne faut pas confondre la personnalité de Danielle avec celle des gens qui ont une trop haute opinion d'eux-mêmes. Bardés de certitudes, se prenant pour des êtres supérieurs, ils peuvent irriter leur entourage. Si eux-mêmes ne souffrent pas, ils ont des attitudes, notamment la condescendance, blessante pour ceux qu'ils côtoient.
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Pourquoi ne pas s'aimer fait souffrir et cause des soucis?
Le moindre reproche vous atteint en plein cœur. Vous sentant attaqué à l'intérieur de vous-même, vous plongez dans des abîmes de perplexité, de désarroi. Ou de colère. En tous cas des sentiments qui ne font pas de bien à votre santé. Car en sapant votre moral, ils affaiblissent les défenses de votre organisme, “Petites ou grandes, écrit la psychanalyste Claude Halmos,les blessures narcissiques nous guettent à chaque coin de notre vie.
Si l'on a, dans son enfance, acquis le sentiment de sa valeur, on est à même de relativiser les échecs, ils restent douloureux mais ne sont pas destructeurs. En revanche, si l'on a été, dès son plus jeune âge, privé de ce capital narcissique, chaque rencontre avec l'autre devient prétexte à une difficile autoévaluation : “Est-ce que je vaux quelque chose ?” Test piégé d'avance, car qui se pose ainsi la question a déjà au fond de lui la réponse : “Je ne vaux rien ou... pas grand-chose.”
Quoique peu présent à votre conscience, votre souci primordial est alors de vous protéger des attaques contre votre image.
Attaques venant raviver votre ressenti. Sur le plan physique, même les top models n'échappent pas à ces blessures. Ancien mannequin célèbre, glorifiée dans les années 1990, Inès de la Fressange avoue mal supporter encore les réflexions du genre...
“Ben ! t'as pas grossi toi...”.
Le manque d'estime de soi peut porter sur tel ou tel aspect de la personne. Selon son vécu, elle sera gênée par ce qui a rapport à son physique, ou à ses capacités. Certains seront à l'aise dans un milieu social et pas dans un autre. D'autres peuvent croire en eux dans le cadre de leur profession, mais être paralysé dans le domaine privé. Tous ceux-là ne pâtiront que par intermittence de leur mauvaise image. Et se rattraperont sur les points où elle reste bonne.
Plus grave est la situation de ceux dont l'image est tellement altérée qu'ils souffrent en permanence. Le moindre défaut les amène à se sentir globalement dévalorisés. Ils ont raté quelque chose ? Ils s'effondrent ou deviennent littéralement malades. Là où quelqu'un qui s'estime pensera “bon, je ne suis pas fort en ce domaine, ce n'est pas grave”, l'autocritique de celui qui ne s'aime pas portera sur l'ensemble de sa personnalité.
Le manque d'estime de soi peut mener à la dépression ou tout au moins à une humeur en dents de scie. Il n'est guère possible d'être intrinsèquement en paix quand on doute trop de sa valeur. Et plus on en doute, plus on se sent indigne des bienfaits de la vie. L'une des conséquences de cet état est la punition infligée à soi-même. Puisqu'on ne vaut rien, on n'a pas droit aux petits bonheurs si essentiels. De là viennent les conduites étonnantes de ceux qui, inconsciemment, s'interdisent d'être heureux.
Sandra s'arrange pour louper tout ce qui pourrait lui faire plaisir. Doit-elle partir un week-end “en amoureux” avec son mari, elle tombe malade le jour du départ. Le lendemain elle est en pleine forme, mais c'est trop tard.
L'invite-t-on au restaurant, elle n'a pas faim et laisse son assiette pleine... mais se gave de raviolis en boîte une fois rentrée chez elle. Qu'on lui propose de lui rendre un service, elle répond “mais non, ce n'est pas la peine”... et s'en mord ensuite les doigts.
“Je ne sais pas comment”, raconte-t-elle, mais je suis devenue “celle qui se contente de peu”. Aussi pour mon anniversaire, ma famille ne m'offre que des bricoles sans valeur. Et le pire est que je m'en satisfais. Je trouverais anormal de recevoir des cadeaux de prix. J'ai l'impression de ne pas les valoir.”
Dans les cas extrêmes, le manque d'estime de soi mène à ne plus se respecter. On néglige son apparence, on ne prend pas soin de sa santé. On se laisse maltraiter sans protester. On juge normal d'obéir, de céder, voire d'être bafoué. Cela peut faire très mal. On supporte, la mort dans l'âme, en rongeant son frein. Et souvent, n'en pouvant plus, on éclate au mauvais moment. Tout au fond de soi, le petit discours est “je ne mérite pas mieux”.
Certains même en arrivent à douter d'avoir droit à l'existence. Naturellement ce sont des cas rares. Mais les comportements de dépendance (drogue,alcoolisme, boulimie) sont souvent la conséquence d'une image trop négative de soi-même.
Plus fréquents sont ceux chez qui la mésestime entraîne de fortes inhibitions. L'action est la voie royale pour se sortir des problèmes. Le hic c'est que lorsqu'on ne s'estime pas, on manque de confiance en soi et par conséquent on n'agit pas. Le plus petit échec entraîne trop d'émotions douloureuses. De l'humiliation au sentiment d'être coupable, le refrain reste toujours : “c'est de ma faute”.
Contrairement à ceux qui en veulent au monde entier, on en veut surtout à soi-même. Pour ne pas risquer un tel désastre, on limite au maximum ses entreprises.
Si vous ressentez un petit pincement au cœur dès qu'il vous faut affronter quelque chose ou quelqu'un, vous ne croyez sans doute pas suffisamment en vous. Or, plus vous doutez de vous, plus vous avez des difficultés à vous prendre en main.
L'idée de faire face vous tétanise. Et les soucis s'accumulent. Ou bien, n'ayant pas confiance en votre jugement, vous tergiversez pendant des heures et finissez par vous en remettre à l'avis des autres. Par exemple, vous voulez acheter
un vêtement. Dans le magasin un grand choix se présente et il vous faut prendre une décision entre plusieurs modèles.
Tentations, essayages, hésitations. Par peur de vous tromper, vous n'arrivez pas à vous décider. Au bout du compte vous repartez sans rien ou avec ce que la vendeuse vous a conseillé, horriblement cher et que vous ne mettrez même pas.
Et vous êtes furieux, mécontent de vous. Que dire alors, quand l'enjeu des prises de décisions est plus important ! Quand, n'osant rien entreprendre, vous vous fiez aveuglément à ceux qui paraissent sûrs d'eux. Hélas ! leurs conseils ne sont pas forcément fiables. “Il suffisait, raconte Bernard, que quelqu'un me dise “je t'assure, tu devrais faire cela” pour que, soulagé de ne pas avoir à m'assumer, je le fasse. Après je me rendais compte que c'était une erreur et il fallait réparer les dégâts.
J'ai beaucoup moins de soucis depuis que j'ai décidé que j'étais autant capable que les autres d'avoir une réflexion intelligente. Je me fie d'abord à moi-même.”
Mais pour certains, se fier à soi-même, est au contraire très pénalisant. Car ils se référent non à leurs capacités réelles, mais à l'image élevée qu'ils poursuivent. Une image irréaliste, trop exigeante, tyrannique, que les psychanalystes nomment le “moi idéal”. Elle se résume en un ordre “je dois”.
Comme petit, je devais satisfaire mes parents, je dois maintenant, pour m'estimer, être à la hauteur de mes attentes excessives. Et en s'épuisant à atteindre l'inaccessible, notre idéaliste rend impossible ce qui serait réalisable. Il fonctionne en “tout ou rien”, oscillant entre ses idées grandioses, son perfectionnisme, et le découragement qui l'amène à se dévaloriser totalement. Son image de lui est en perpétuelle dégringolade et il souffre énormément.
Sur le plan affectif et relationnel, le manque d'estime de soi est aussi source de tourment. La quête effrénée d'amour ou d'amitié est fréquente chez ceux qui ne s'aiment pas.
Quelqu'un va-t-il réussir à me prouver que je suis aimable ? Quête pratiquement toujours vouée à l'échec, car personne, à part soi-même, ne parvient à restaurer une image de soi négative.
Vous restez persuadé que le regard porté sur vous ne peut être que critique. À tel point que les compliments vous gênent.
Soit vous les croyez mensongers (il dit ça pour me flatter, il attend sûrement quelque chose de moi), soit ils vous apparaissent comme faux (il va vite s'apercevoir qu'il se trompe).
Pour vous rassurer un minimum, il faudrait en faire des tonnes. Les âmes les plus charitables finissent par se lasser.
Et ce besoin permanent de réassurance est à la source de bien des crises (disputes, séparations, etc.).
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Bruno est un passionné de développement personnel.
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Si l'on a, dans son enfance, acquis le sentiment de sa valeur, on est à même de relativiser les échecs, ils restent douloureux mais ne sont pas destructeurs. En revanche, si l'on a été, dès son plus jeune âge, privé de ce capital narcissique, chaque rencontre avec l'autre devient prétexte à une difficile autoévaluation : “Est-ce que je vaux quelque chose ?” Test piégé d'avance, car qui se pose ainsi la question a déjà au fond de lui la réponse : “Je ne vaux rien ou... pas grand-chose.”
Quoique peu présent à votre conscience, votre souci primordial est alors de vous protéger des attaques contre votre image.
Attaques venant raviver votre ressenti. Sur le plan physique, même les top models n'échappent pas à ces blessures. Ancien mannequin célèbre, glorifiée dans les années 1990, Inès de la Fressange avoue mal supporter encore les réflexions du genre...
“Ben ! t'as pas grossi toi...”.
Le manque d'estime de soi peut porter sur tel ou tel aspect de la personne. Selon son vécu, elle sera gênée par ce qui a rapport à son physique, ou à ses capacités. Certains seront à l'aise dans un milieu social et pas dans un autre. D'autres peuvent croire en eux dans le cadre de leur profession, mais être paralysé dans le domaine privé. Tous ceux-là ne pâtiront que par intermittence de leur mauvaise image. Et se rattraperont sur les points où elle reste bonne.
Plus grave est la situation de ceux dont l'image est tellement altérée qu'ils souffrent en permanence. Le moindre défaut les amène à se sentir globalement dévalorisés. Ils ont raté quelque chose ? Ils s'effondrent ou deviennent littéralement malades. Là où quelqu'un qui s'estime pensera “bon, je ne suis pas fort en ce domaine, ce n'est pas grave”, l'autocritique de celui qui ne s'aime pas portera sur l'ensemble de sa personnalité.
Le manque d'estime de soi peut mener à la dépression ou tout au moins à une humeur en dents de scie. Il n'est guère possible d'être intrinsèquement en paix quand on doute trop de sa valeur. Et plus on en doute, plus on se sent indigne des bienfaits de la vie. L'une des conséquences de cet état est la punition infligée à soi-même. Puisqu'on ne vaut rien, on n'a pas droit aux petits bonheurs si essentiels. De là viennent les conduites étonnantes de ceux qui, inconsciemment, s'interdisent d'être heureux.
Sandra s'arrange pour louper tout ce qui pourrait lui faire plaisir. Doit-elle partir un week-end “en amoureux” avec son mari, elle tombe malade le jour du départ. Le lendemain elle est en pleine forme, mais c'est trop tard.
L'invite-t-on au restaurant, elle n'a pas faim et laisse son assiette pleine... mais se gave de raviolis en boîte une fois rentrée chez elle. Qu'on lui propose de lui rendre un service, elle répond “mais non, ce n'est pas la peine”... et s'en mord ensuite les doigts.
“Je ne sais pas comment”, raconte-t-elle, mais je suis devenue “celle qui se contente de peu”. Aussi pour mon anniversaire, ma famille ne m'offre que des bricoles sans valeur. Et le pire est que je m'en satisfais. Je trouverais anormal de recevoir des cadeaux de prix. J'ai l'impression de ne pas les valoir.”
Dans les cas extrêmes, le manque d'estime de soi mène à ne plus se respecter. On néglige son apparence, on ne prend pas soin de sa santé. On se laisse maltraiter sans protester. On juge normal d'obéir, de céder, voire d'être bafoué. Cela peut faire très mal. On supporte, la mort dans l'âme, en rongeant son frein. Et souvent, n'en pouvant plus, on éclate au mauvais moment. Tout au fond de soi, le petit discours est “je ne mérite pas mieux”.
Certains même en arrivent à douter d'avoir droit à l'existence. Naturellement ce sont des cas rares. Mais les comportements de dépendance (drogue,alcoolisme, boulimie) sont souvent la conséquence d'une image trop négative de soi-même.
Plus fréquents sont ceux chez qui la mésestime entraîne de fortes inhibitions. L'action est la voie royale pour se sortir des problèmes. Le hic c'est que lorsqu'on ne s'estime pas, on manque de confiance en soi et par conséquent on n'agit pas. Le plus petit échec entraîne trop d'émotions douloureuses. De l'humiliation au sentiment d'être coupable, le refrain reste toujours : “c'est de ma faute”.
Contrairement à ceux qui en veulent au monde entier, on en veut surtout à soi-même. Pour ne pas risquer un tel désastre, on limite au maximum ses entreprises.
Si vous ressentez un petit pincement au cœur dès qu'il vous faut affronter quelque chose ou quelqu'un, vous ne croyez sans doute pas suffisamment en vous. Or, plus vous doutez de vous, plus vous avez des difficultés à vous prendre en main.
L'idée de faire face vous tétanise. Et les soucis s'accumulent. Ou bien, n'ayant pas confiance en votre jugement, vous tergiversez pendant des heures et finissez par vous en remettre à l'avis des autres. Par exemple, vous voulez acheter
un vêtement. Dans le magasin un grand choix se présente et il vous faut prendre une décision entre plusieurs modèles.
Tentations, essayages, hésitations. Par peur de vous tromper, vous n'arrivez pas à vous décider. Au bout du compte vous repartez sans rien ou avec ce que la vendeuse vous a conseillé, horriblement cher et que vous ne mettrez même pas.
Et vous êtes furieux, mécontent de vous. Que dire alors, quand l'enjeu des prises de décisions est plus important ! Quand, n'osant rien entreprendre, vous vous fiez aveuglément à ceux qui paraissent sûrs d'eux. Hélas ! leurs conseils ne sont pas forcément fiables. “Il suffisait, raconte Bernard, que quelqu'un me dise “je t'assure, tu devrais faire cela” pour que, soulagé de ne pas avoir à m'assumer, je le fasse. Après je me rendais compte que c'était une erreur et il fallait réparer les dégâts.
J'ai beaucoup moins de soucis depuis que j'ai décidé que j'étais autant capable que les autres d'avoir une réflexion intelligente. Je me fie d'abord à moi-même.”
Mais pour certains, se fier à soi-même, est au contraire très pénalisant. Car ils se référent non à leurs capacités réelles, mais à l'image élevée qu'ils poursuivent. Une image irréaliste, trop exigeante, tyrannique, que les psychanalystes nomment le “moi idéal”. Elle se résume en un ordre “je dois”.
Comme petit, je devais satisfaire mes parents, je dois maintenant, pour m'estimer, être à la hauteur de mes attentes excessives. Et en s'épuisant à atteindre l'inaccessible, notre idéaliste rend impossible ce qui serait réalisable. Il fonctionne en “tout ou rien”, oscillant entre ses idées grandioses, son perfectionnisme, et le découragement qui l'amène à se dévaloriser totalement. Son image de lui est en perpétuelle dégringolade et il souffre énormément.
Sur le plan affectif et relationnel, le manque d'estime de soi est aussi source de tourment. La quête effrénée d'amour ou d'amitié est fréquente chez ceux qui ne s'aiment pas.
Quelqu'un va-t-il réussir à me prouver que je suis aimable ? Quête pratiquement toujours vouée à l'échec, car personne, à part soi-même, ne parvient à restaurer une image de soi négative.
Vous restez persuadé que le regard porté sur vous ne peut être que critique. À tel point que les compliments vous gênent.
Soit vous les croyez mensongers (il dit ça pour me flatter, il attend sûrement quelque chose de moi), soit ils vous apparaissent comme faux (il va vite s'apercevoir qu'il se trompe).
Pour vous rassurer un minimum, il faudrait en faire des tonnes. Les âmes les plus charitables finissent par se lasser.
Et ce besoin permanent de réassurance est à la source de bien des crises (disputes, séparations, etc.).
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Comment effacer vos pensées négatives de votre mental et les empêcher de nuire à votre santé?
Contemporain de Freud, le Dr Vittoz a élaboré une méthode destinée à rééduquer le contenu du cerveau, en le contrôlant.
Cette méthode comprend notamment des exercices ayant pour effet final d'éliminer les pensées négatives. Dans son livre, Christian Godefroy a repris ceux-ci en les complétant par d'autres élaborés par le Dr Bruston (dans De la méthode du Dr Vittoz à la psychologie des profondeurs, EPI, 1975).
Ces exercices, quoiqu'un peu déconcertants au départ, sont d'une simplicité enfantine. Pourtant, sans y paraître, ils vous aideront considérablement. Pour un résultat optimum, il faut absolument les pratiquer dans l'ordre.
Les applications pratiques de la méthode Vittoz:
Avant de commencer, reprenez la liste de vos problèmes et recherchez un mot qualifiant le sentiment négatif ressenti à propos de chacun. Cela peut être : peur, colère, échec, fatigue, tristesse, jalousie, haine, ressentiment, malchance, désarroi, déprime, crispation, conflit, tension, etc. Notez ces mots-clés.
Laissez-les de côté pour le moment et démarrez les exercices.
Éliminez des objets:
Sur une table vide, posez 3 objets. Observez-les attentivement, puis fermez les yeux et revoyez mentalement ces objets posés sur la table. Ensuite, enlevez un des objets.
Regardez le vide qu'il laisse, puis, les yeux fermés, ressuscitez l'image nouvelle, un objet en moins. Enlevez en encore un et ainsi de suite. Répétez cet exercice jusqu'à ce que mentalement vous voyiez exactement l'image réelle, avec 3, 2, 1 objet et plus du tout.
Élimination mentale des objets:
Reprenez l'exercice, mais en laissant les objets à leur place.
Fermez les yeux, pensez que vous les enlevez un à un et voyez-les mentalement disparaître. Restez un moment sur la phase finale : en imagination, la table est vide.
Élimination de chiffres:
Yeux fermés, dessinez 3 chiffres sur votre écran mental, par exemple 3-2-1. Puis éliminez-en un (vous n'en voyez plus que deux), un second, et le dernier.
Élimination d'un graphique:
Visualisez mentalement une figure (par exemple un carré), puis éliminez ses éléments un par un (trait à droite, trait en bas, etc.).
Élimination des lettres:
Visualisez une série de lettres (environ 5 ou 6, n'importe lesquelles), puis éliminez-les une par une en commençant d'abord par la dernière jusqu'à ce qu'il n'y en n'ait plus aucune. Puis revoyez-les et changer l'ordre d'élimination.
Élimination des mots:
Prenez un mot sans signification profonde. Par exemple : New York, chien, vache, table, etc. Inscrivez-le sur votre écran mental, puis éliminez-le, lettre après lettre, en commençant par la fin.
Élimination de mots antagonistes:
Choisissez 2 mots opposés : froid et chaud, guerre et paix, sombre et clair, bruit et silence, stress et relaxation.
Éliminez un seul des mots. Vous n'en visualisez plus qu'un.
Gardez de préférence celui qui vous convient le mieux.
Regardez maintenant votre liste de mots significatifs, de mots symboles de vos soucis. Prenez-en un puis fermez les yeux et visualisez le. Ensuite, effacez-le, lettre après lettre jusqu'à ce qu'il ait complètement disparu (vous pouvez répétez l'exercice avec des mots différents).
Chiffres décroissants (variante du Dr Bruston):
Il s'agit d'une suite de chiffres 1 écrits de plus en plus petits. Au fur et à mesure que vous écrivez dans votre tête un 1, effacez le précédent. Le dernier doit être minuscule, à peine visible. Et, à la fin, vous ne voyez plus rien.
Mariage symbole et chiffres décroissants:
Toujours proposé par le Dr Bruston. Ajoutez un chiffre 1 au mot-clé. Au fur et à mesure que vous diminuez la taille du chiffre, le mot diminue aussi, jusqu'à disparaître.
Enfin la phase finale :
Écrivez dans votre tête le mot-clé, éliminez le par l'un des moyens ci-dessus, puis remplacez-le par un mot opposé (par exemple haine remplacé par amour, peur par courage, ressentiment par pardon, tension par détente, tristesse par joie, jalousie par confiance, désarroi par sérénité, etc.)
Voyez bien ce mot écrit en toutes lettres.
Quand vous aurez pratiqué un certain nombre de fois ces exercices, vous pourrez, chaque soir, revoir les incidents, agressions, émotions ayant eu sur vous un impact négatif. Les écrire sur votre tableau mental et les effacer lettre après lettre tout en ressentant que le sentiment pénible s'estompe.
Lorsque son image a disparu, vous laissez venir un mot de reconstruction, vous l'écrivez mentalement et vous vous en imprégnez.
Si vous n'y arrivez pas, reprenez la série d'exercices.
Louis, praticien Vittoz, propose aussi quelques variantes:
– Imaginez un bateau dans un port (ou un avion dans un aéroport). Voyez-le avec tous ses détails. Puis visualisez-le s'éloignant doucement. Arrêtez quand vous ne voyez plus rien.
– Posez maintenant dans le bateau ou l'avion, votre mot symbole de problème. Et laissez-le s'éloigner sur l'eau ou dans les airs. Il disparaît en même temps que le bateau ou l'avion.
– Vous pouvez aussi vous imaginer dans un premier temps, tenant dans la main un sac de son. Vous l'éloignez de vous et vous le projetez sur le sol. Dans un second temps, vous déposez (toujours mentalement) dans le sac de son, l'idée qui vous gêne et vous vous voyez jetant le tout sans hésitation.
Ces exercices ont été conçus pour mobiliser la volonté et apprendre au cerveau à pratiquer l'oubli volontaire. Les images que vous évacuez ne sont plus chargées d'émotion. Elles perdent leur venin et deviennent neutres.
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Cette méthode comprend notamment des exercices ayant pour effet final d'éliminer les pensées négatives. Dans son livre, Christian Godefroy a repris ceux-ci en les complétant par d'autres élaborés par le Dr Bruston (dans De la méthode du Dr Vittoz à la psychologie des profondeurs, EPI, 1975).
Ces exercices, quoiqu'un peu déconcertants au départ, sont d'une simplicité enfantine. Pourtant, sans y paraître, ils vous aideront considérablement. Pour un résultat optimum, il faut absolument les pratiquer dans l'ordre.
Les applications pratiques de la méthode Vittoz:
Avant de commencer, reprenez la liste de vos problèmes et recherchez un mot qualifiant le sentiment négatif ressenti à propos de chacun. Cela peut être : peur, colère, échec, fatigue, tristesse, jalousie, haine, ressentiment, malchance, désarroi, déprime, crispation, conflit, tension, etc. Notez ces mots-clés.
Laissez-les de côté pour le moment et démarrez les exercices.
Éliminez des objets:
Sur une table vide, posez 3 objets. Observez-les attentivement, puis fermez les yeux et revoyez mentalement ces objets posés sur la table. Ensuite, enlevez un des objets.
Regardez le vide qu'il laisse, puis, les yeux fermés, ressuscitez l'image nouvelle, un objet en moins. Enlevez en encore un et ainsi de suite. Répétez cet exercice jusqu'à ce que mentalement vous voyiez exactement l'image réelle, avec 3, 2, 1 objet et plus du tout.
Élimination mentale des objets:
Reprenez l'exercice, mais en laissant les objets à leur place.
Fermez les yeux, pensez que vous les enlevez un à un et voyez-les mentalement disparaître. Restez un moment sur la phase finale : en imagination, la table est vide.
Élimination de chiffres:
Yeux fermés, dessinez 3 chiffres sur votre écran mental, par exemple 3-2-1. Puis éliminez-en un (vous n'en voyez plus que deux), un second, et le dernier.
Élimination d'un graphique:
Visualisez mentalement une figure (par exemple un carré), puis éliminez ses éléments un par un (trait à droite, trait en bas, etc.).
Élimination des lettres:
Visualisez une série de lettres (environ 5 ou 6, n'importe lesquelles), puis éliminez-les une par une en commençant d'abord par la dernière jusqu'à ce qu'il n'y en n'ait plus aucune. Puis revoyez-les et changer l'ordre d'élimination.
Élimination des mots:
Prenez un mot sans signification profonde. Par exemple : New York, chien, vache, table, etc. Inscrivez-le sur votre écran mental, puis éliminez-le, lettre après lettre, en commençant par la fin.
Élimination de mots antagonistes:
Choisissez 2 mots opposés : froid et chaud, guerre et paix, sombre et clair, bruit et silence, stress et relaxation.
Éliminez un seul des mots. Vous n'en visualisez plus qu'un.
Gardez de préférence celui qui vous convient le mieux.
Regardez maintenant votre liste de mots significatifs, de mots symboles de vos soucis. Prenez-en un puis fermez les yeux et visualisez le. Ensuite, effacez-le, lettre après lettre jusqu'à ce qu'il ait complètement disparu (vous pouvez répétez l'exercice avec des mots différents).
Chiffres décroissants (variante du Dr Bruston):
Il s'agit d'une suite de chiffres 1 écrits de plus en plus petits. Au fur et à mesure que vous écrivez dans votre tête un 1, effacez le précédent. Le dernier doit être minuscule, à peine visible. Et, à la fin, vous ne voyez plus rien.
Mariage symbole et chiffres décroissants:
Toujours proposé par le Dr Bruston. Ajoutez un chiffre 1 au mot-clé. Au fur et à mesure que vous diminuez la taille du chiffre, le mot diminue aussi, jusqu'à disparaître.
Enfin la phase finale :
Écrivez dans votre tête le mot-clé, éliminez le par l'un des moyens ci-dessus, puis remplacez-le par un mot opposé (par exemple haine remplacé par amour, peur par courage, ressentiment par pardon, tension par détente, tristesse par joie, jalousie par confiance, désarroi par sérénité, etc.)
Voyez bien ce mot écrit en toutes lettres.
Quand vous aurez pratiqué un certain nombre de fois ces exercices, vous pourrez, chaque soir, revoir les incidents, agressions, émotions ayant eu sur vous un impact négatif. Les écrire sur votre tableau mental et les effacer lettre après lettre tout en ressentant que le sentiment pénible s'estompe.
Lorsque son image a disparu, vous laissez venir un mot de reconstruction, vous l'écrivez mentalement et vous vous en imprégnez.
Si vous n'y arrivez pas, reprenez la série d'exercices.
Louis, praticien Vittoz, propose aussi quelques variantes:
– Imaginez un bateau dans un port (ou un avion dans un aéroport). Voyez-le avec tous ses détails. Puis visualisez-le s'éloignant doucement. Arrêtez quand vous ne voyez plus rien.
– Posez maintenant dans le bateau ou l'avion, votre mot symbole de problème. Et laissez-le s'éloigner sur l'eau ou dans les airs. Il disparaît en même temps que le bateau ou l'avion.
– Vous pouvez aussi vous imaginer dans un premier temps, tenant dans la main un sac de son. Vous l'éloignez de vous et vous le projetez sur le sol. Dans un second temps, vous déposez (toujours mentalement) dans le sac de son, l'idée qui vous gêne et vous vous voyez jetant le tout sans hésitation.
Ces exercices ont été conçus pour mobiliser la volonté et apprendre au cerveau à pratiquer l'oubli volontaire. Les images que vous évacuez ne sont plus chargées d'émotion. Elles perdent leur venin et deviennent neutres.
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jeudi 9 avril 2009
Magasiner les autos d'occasion sur Internet
Le vingtième siècle est entré définitivement dans l'Ère du commerce électronique. On peut maintenant tout acheter ou même faire du lèche-vitrine dans le confort de notre foyer. Cette tendance aide grandement les consommateurs qui ont un rythme de vie affolant. Entre les gardiennes, le boulot et les courses, il ne reste souvent plus de temps et d'énergie pour magasiner correctement un gros achat tel une auto d'occasion à vendre. Il est souvent physiquement impossible d'aller visiter tous les concessionnaires automobiles ou de répondre à toutes les petites annonces d'auto d'occasion. Ce site regroupe 6 concessionnaires auto ce qui fait qu'ils ont on large inventaire de voitures d'occasion à vendre. C'est pourquoi il est très facile d'aller sur ce site si l'option d'acheter une auto d'occasion a été envisagée. On y va entre deux activités sans même être obligé de se déplacer. Le fait d'être seul dans votre salon vous épargne le temps de bavardage inutile et les frais de déplacements. C'est une solution économique en argent et en temps!
Le site est organisé de façon à ce que ce soit facile de s'y retrouver. Les autos d'occasions à vendre qui y sont présentées ont toutes une très bonne description. Ce qui fait que l'on sélectionne que les voitures d'occasion à vendre qui nous intéresse. Pas besoin d'attendre un vendeur ou de lire en petit caractères sur une feuille de papier qui souvent n'est pas complète comme description. Il n'y a pas de pression de vente. Les agents sont la pour répondrent à vos question, en ligne ou au téléphone, mais ne viennent pas vous chercher à la maison pour essayer de vous vendre un model plus cher ou les accessoires derniers cri. On n'a pas besoin non plus de se faire des signaux entre nous sans que le vendeur nous voient parce que l'on ne veut pas qu'il décode se que nous avons a nous dire sur l'achat en question. Assis, tranquillement devant votre ordinateur, vous pouvez discuter de ce que vous aimez et de ce que vous désirez. Quoi de mieux que de magasiner dans le calme, sans stress.
L'accessibilité du site enlève également stress et frustrations. Ce ne sont pas tous les sites Internet qui sont bien structurés et facile d'y naviguer. Ce site de petites annonces d'auto d'occasion à vendre est bien divisé et construit d'une façon professionnelle. Il est fait pour tous les types de personnes. On n'a pas besoin d'être des experts en voitures pour pouvoir avoir des informations sur les voitures usagées à vendre à Sherbrooke. Ce regroupement de concessionnaires d'autos usagées est la solution idéale pour tous.
A propos de l'auteur :
Guillaume est un passionné d'autos et écrits régulièrement sur les autos d'occasion.
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Le site est organisé de façon à ce que ce soit facile de s'y retrouver. Les autos d'occasions à vendre qui y sont présentées ont toutes une très bonne description. Ce qui fait que l'on sélectionne que les voitures d'occasion à vendre qui nous intéresse. Pas besoin d'attendre un vendeur ou de lire en petit caractères sur une feuille de papier qui souvent n'est pas complète comme description. Il n'y a pas de pression de vente. Les agents sont la pour répondrent à vos question, en ligne ou au téléphone, mais ne viennent pas vous chercher à la maison pour essayer de vous vendre un model plus cher ou les accessoires derniers cri. On n'a pas besoin non plus de se faire des signaux entre nous sans que le vendeur nous voient parce que l'on ne veut pas qu'il décode se que nous avons a nous dire sur l'achat en question. Assis, tranquillement devant votre ordinateur, vous pouvez discuter de ce que vous aimez et de ce que vous désirez. Quoi de mieux que de magasiner dans le calme, sans stress.
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A propos de l'auteur :
je me présente je suis M Roussel Responsable de l'agence Sud-media66,l'annuaire et les petites annonces de France66. Notre siège social est à Perpignan dans le sud de la France
Sud-media66 est une agence de création, communication ,multimedia , réferencement, hébergement.....
Notre site internet Sud-media66.fr
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Considérer l'option de faire l'achat d'une véhicule usagé
Nous savons tous que magasiner une voiture peut être un vrai fardeau. Nous considérons tous l'option d'acheter une auto d'occasion, mais on ne sait jamais par où commencer, où aller et surtout à qui faire confiance. Le nombre incroyable de voitures usagées à vendre est assez pour faire tourner les têtes. C'est pourquoi nous vous offrons un plan beaucoup plus simple. C'est un regroupement de concessionnaires réputés, qui vous procure un service fiable et efficace. Cette association de voitures d'occasions à vendre vous aide à mieux gérer le stress engendré par cet achat.
Dans le confort de votre foyer, vous pouvez feuilleter les annonces d'auto d'occasion. Sans pression d'un vendeur qui vous harcèle pour acheter le dernier cri ou tous les accessoires inimaginables. La grande variété d'autos d'occasions à vendre parmi ce regroupement, vous permet de magasiner la voiture usagée de votre choix au budget convenu. Acheter une auto d'occasion peut faire réaliser plusieurs économies. En ces temps de difficulté économiques, nous cherchons tous des moyens pour réaliser le plus d'économies possible, sans toutefois perdre de la qualité. C'est pourquoi l'option d'acheter une voiture usagée reste en priorité.
A même leur site Internet, on peut faire une demande de prêt auto. Un agent vous contact peu après pour finaliser les papiers. Aucune pression face au vendeur. Plusieurs options de financement s'offrent à vous. Il y a même des 2eme et 3eme chances au crédit. Peu de petites annonces d'auto d'occasion vous offrent ce système automatisé et sécuritaire. Une entente avec les plus grandes institutions financières est établie, ce qui vous permet d'économiser encore plus avec des taux de financement préférentiels imbattables. Faire un prêt pour une voiture usagée n'a jamais été aussi simple et économique.
Il n'y a pas que les autos d'occasion à vendre à prendre en considération lors d'achat d'un nouveau véhicule, mais le service également. Il faut qu'il soit fiable. Les gens n'ont pas d'argent à perdre, surtout en des temps difficiles. Le regroupement permet de trouver une personne en qui ont a assez confiance pour lui confier la responsabilité de vendre une automobile de qualité qui convient à n'importe quel portefeuille.
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Dans le confort de votre foyer, vous pouvez feuilleter les annonces d'auto d'occasion. Sans pression d'un vendeur qui vous harcèle pour acheter le dernier cri ou tous les accessoires inimaginables. La grande variété d'autos d'occasions à vendre parmi ce regroupement, vous permet de magasiner la voiture usagée de votre choix au budget convenu. Acheter une auto d'occasion peut faire réaliser plusieurs économies. En ces temps de difficulté économiques, nous cherchons tous des moyens pour réaliser le plus d'économies possible, sans toutefois perdre de la qualité. C'est pourquoi l'option d'acheter une voiture usagée reste en priorité.
A même leur site Internet, on peut faire une demande de prêt auto. Un agent vous contact peu après pour finaliser les papiers. Aucune pression face au vendeur. Plusieurs options de financement s'offrent à vous. Il y a même des 2eme et 3eme chances au crédit. Peu de petites annonces d'auto d'occasion vous offrent ce système automatisé et sécuritaire. Une entente avec les plus grandes institutions financières est établie, ce qui vous permet d'économiser encore plus avec des taux de financement préférentiels imbattables. Faire un prêt pour une voiture usagée n'a jamais été aussi simple et économique.
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L'art de savoir choisir un véhicule usagé
C'est maintenant temps de changer de véhicule. La famille agrandit, vous cherchez à économiser sur l'essence ou vous avez le gout de performance… avez-vous pensé à un véhicule usagé? Voici comment s'y retrouver dans le lot de petites annonces auto qui existe.
Parlons budget!
Premièrement, commencez par évaluer votre budget. Combien êtes-vous près à aligner chaque mois pour vous déplacer? C'est ce qui est le plus important car l'automobile est la deuxième dépense la plus importante dans un foyer. Pensez à tout : Les mensualités, les couts d'assurances, la consommation d'essence, les couts d'entretien. Ils varient souvent d'un véhicule à l'autre, et vous pourriez regretter d'avoir seulement acheté une mensualité abordable.
Gros? Petit?
Ensuite, évaluez vos besoins. Chacun d'entres nous utilise son automobile de façon différente. Les familles se tourneront davantage vers les mini fourgonnettes ou les familiales, les entrepreneurs vers des camions, les amateurs de plein air vers les véhicules utilitaires sport, les gens seuls vers des petites voitures. Encore là, le fait de bien choisir vous permettra de rentabiliser votre achat au maximum, toujours pour faire sourire votre porte-feuilles.
On magasine!
Maintenant le budget scellé, les besoins mieux définis, commencez à pré-magasiner sur un site d'annonces auto d'occasion. Vous pourrez facilement et rapidement évaluer les différents véhicules et surtout, les différentes marques de véhicules. Regardez, comparez et choisissez! Un véhicule est un investissement à long terme, n'hésitez surtout pas à bien fouiller et à vous renseigner sur les défauts et les qualités des différents véhicules. Chacun a ses forces et faiblesses! À vous de savoir quelles sont les faiblesses que vous pouvez accepter et les forces qui sont des incontournables. Réfléchissez au confort, à l'espace de rangement, à la tenue de route, à la puissance du moteur…
Si plusieurs modèles ont fait battre votre cœur, le temps de choisir approche à vue d'œil! Rappelez-vous que vous ne devez pas acheter seulement le bas prix, mais bien vos besoins. Votre achat auto occasion doit être intelligent et non un coup de tête. Pour cela, rien de tel qu'un essai routier.
Faites le tour du propriétaire!
Enfin, vous la rencontrez. Commencez par évaluer l'extérieur. Faites le tour de la carrosserie en plein jour, et n'hésitez surtout pas à faire nettoyer un véhicule sale. Cela cache peut-être des défauts de carrosserie que vous n'auriez pas vue en regardant l'annonce auto occasion. Les pneus sont-ils en bon état? Ils ne sont pas usés de façon régulière? Le parallélisme des roues doit peut-être être retouché. Le bas du pare-choc avant est-il égratigné? Si oui, c'est peut-être signe que le dessous du véhicule a aussi été endommagé. Penchez-vous sous le véhicule pour voir si quelque chose pendouille. Vérifiez le pare-brise pour être certain qu'il ne soit pas endommagé, c'est une réparation souvent couteuse.
Essayez… essayez… et essayez!
C'est l'heure, vous vous installez au volant, vérifiez l'intérieur pour vous assurer que tout est en état. Démarrez le véhicule. Est-ce que tous les voyants restent éteints? Est-ce que toutes les commandes sont en état? La ventilation, l'air climatisé, le chauffage et le dégivrage arrière sont les principaux éléments à vérifier. Par la suite, attardez-vous aux glaces à commande électrique, au système audio, aux commandes de miroirs électriques, aux sièges chauffants s'il y a lieu… etc.
Maintenant l'intérieur réglé, c'est le temps de passer aux choses sérieuses : La conduite. Évaluez l'accélération, la compression du moteur ( lorsque vous ralentissez sans freiner en laissant le véhicule décélérer de lui-même ), le freinage. Est-ce que le tout vous satisfait? Une accélération moyenne peut indiquer que le véhicule est maintenant du pour un entretien majeur comme c'est le cas pour une compression inadéquate. Les freins donnent des coups? Les disques ou les plaquettes ou les deux doivent êtres réparés ou changés.
Faites un essai en ville, mais essayer aussi le véhicule sur une route plus dégradée, vous verrez si la caisse est solide ou si des bruits se font entendre. L'autoroute est à proximité? Conduisez le véhicule à haute vitesse, pour évaluer la stabilité. Un volant qui donne des coups sera signe d'un déséquilibrage au niveau des roues ou au niveau des pièces de direction.
Le test routier sera le déterminant principal de votre achat. Faites le bien… et demandez à quelqu'un de vous accompagner. Il décèlera peut-être un détail que vous n'avez pas remarqué.
Des questions?
Surtout, le plus important est de poser toutes les questions aussitôt qu'elles arrivent à votre esprit. Vous devez tout connaître sur le véhicule usagé qui vous intéresse. Exigez des factures d'entretien et des réponses claires à vos questions!
Bon achat!
A propos de l'auteur :
Guillaume est un mordu de l'automobile et adore écrire sur les autos d'occasion.
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Parlons budget!
Premièrement, commencez par évaluer votre budget. Combien êtes-vous près à aligner chaque mois pour vous déplacer? C'est ce qui est le plus important car l'automobile est la deuxième dépense la plus importante dans un foyer. Pensez à tout : Les mensualités, les couts d'assurances, la consommation d'essence, les couts d'entretien. Ils varient souvent d'un véhicule à l'autre, et vous pourriez regretter d'avoir seulement acheté une mensualité abordable.
Gros? Petit?
Ensuite, évaluez vos besoins. Chacun d'entres nous utilise son automobile de façon différente. Les familles se tourneront davantage vers les mini fourgonnettes ou les familiales, les entrepreneurs vers des camions, les amateurs de plein air vers les véhicules utilitaires sport, les gens seuls vers des petites voitures. Encore là, le fait de bien choisir vous permettra de rentabiliser votre achat au maximum, toujours pour faire sourire votre porte-feuilles.
On magasine!
Maintenant le budget scellé, les besoins mieux définis, commencez à pré-magasiner sur un site d'annonces auto d'occasion. Vous pourrez facilement et rapidement évaluer les différents véhicules et surtout, les différentes marques de véhicules. Regardez, comparez et choisissez! Un véhicule est un investissement à long terme, n'hésitez surtout pas à bien fouiller et à vous renseigner sur les défauts et les qualités des différents véhicules. Chacun a ses forces et faiblesses! À vous de savoir quelles sont les faiblesses que vous pouvez accepter et les forces qui sont des incontournables. Réfléchissez au confort, à l'espace de rangement, à la tenue de route, à la puissance du moteur…
Si plusieurs modèles ont fait battre votre cœur, le temps de choisir approche à vue d'œil! Rappelez-vous que vous ne devez pas acheter seulement le bas prix, mais bien vos besoins. Votre achat auto occasion doit être intelligent et non un coup de tête. Pour cela, rien de tel qu'un essai routier.
Faites le tour du propriétaire!
Enfin, vous la rencontrez. Commencez par évaluer l'extérieur. Faites le tour de la carrosserie en plein jour, et n'hésitez surtout pas à faire nettoyer un véhicule sale. Cela cache peut-être des défauts de carrosserie que vous n'auriez pas vue en regardant l'annonce auto occasion. Les pneus sont-ils en bon état? Ils ne sont pas usés de façon régulière? Le parallélisme des roues doit peut-être être retouché. Le bas du pare-choc avant est-il égratigné? Si oui, c'est peut-être signe que le dessous du véhicule a aussi été endommagé. Penchez-vous sous le véhicule pour voir si quelque chose pendouille. Vérifiez le pare-brise pour être certain qu'il ne soit pas endommagé, c'est une réparation souvent couteuse.
Essayez… essayez… et essayez!
C'est l'heure, vous vous installez au volant, vérifiez l'intérieur pour vous assurer que tout est en état. Démarrez le véhicule. Est-ce que tous les voyants restent éteints? Est-ce que toutes les commandes sont en état? La ventilation, l'air climatisé, le chauffage et le dégivrage arrière sont les principaux éléments à vérifier. Par la suite, attardez-vous aux glaces à commande électrique, au système audio, aux commandes de miroirs électriques, aux sièges chauffants s'il y a lieu… etc.
Maintenant l'intérieur réglé, c'est le temps de passer aux choses sérieuses : La conduite. Évaluez l'accélération, la compression du moteur ( lorsque vous ralentissez sans freiner en laissant le véhicule décélérer de lui-même ), le freinage. Est-ce que le tout vous satisfait? Une accélération moyenne peut indiquer que le véhicule est maintenant du pour un entretien majeur comme c'est le cas pour une compression inadéquate. Les freins donnent des coups? Les disques ou les plaquettes ou les deux doivent êtres réparés ou changés.
Faites un essai en ville, mais essayer aussi le véhicule sur une route plus dégradée, vous verrez si la caisse est solide ou si des bruits se font entendre. L'autoroute est à proximité? Conduisez le véhicule à haute vitesse, pour évaluer la stabilité. Un volant qui donne des coups sera signe d'un déséquilibrage au niveau des roues ou au niveau des pièces de direction.
Le test routier sera le déterminant principal de votre achat. Faites le bien… et demandez à quelqu'un de vous accompagner. Il décèlera peut-être un détail que vous n'avez pas remarqué.
Des questions?
Surtout, le plus important est de poser toutes les questions aussitôt qu'elles arrivent à votre esprit. Vous devez tout connaître sur le véhicule usagé qui vous intéresse. Exigez des factures d'entretien et des réponses claires à vos questions!
Bon achat!
A propos de l'auteur :
Guillaume est un mordu de l'automobile et adore écrire sur les autos d'occasion.
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Apprendre à s'affirmer
Combien de fois vous êtes-vous reproché d'avoir dit Oui trop vite ?
Oui, à une amie pour l'accompagner à un rendez-vous, Oui pour aller au cinéma, alors que vous aviez plutôt pensé vous mettre en tenue confortable et vous faire un plateau-télé,
Oui, pour garder les enfants de votre belle sœur, Oui pour aller bricoler chez un collègue ou l'aider à déménager…
Autant de moments de frustration où vous vous êtes dit : « Mais pourquoi ai-je encore dit Oui ? »
Pourquoi ne savons-nous pas dire Non ?
- parce qu'on n'a pas appris à le faire : aviez-vous le droit de dire Non à Papa, à Maman, au « grand » en général ?
- parce que c'est peut-être pour nous une façon d'exister, d'être utile, de rendre des services.
N'entendez pas par là qu'il ne faut jamais dire Oui !
Mais posez-vous juste la question :
« Est-ce que le fait de dire Oui est bon pour moi ? »
Oui, parce ce que vous allez aussi vous faire plaisir en gardant les enfants de votre belle sœur, Oui, parce que vous avez vraiment envie de faire plaisir à cet ami…
Non, parce que vous êtes fatigué et que votre corps à besoin de se reposer, Non, parce que vous avez une autre invitation qui va vous ravir…
Habituez-vous à prendre un petit temps avant de répondre, ou revenez sur votre engagement rapidement en disant :
« j'ai répondu un peu vite mais je ne peux pas », sans forcément vous justifier, juste vous donner le droit d'être vous-même prioritaire dans vos besoins.
Nous écoutons très souvent nos « faux besoins », c'est-à-dire ce que nous faisons pour plaire ou par peur de déplaire.
Et si vous écoutiez vos vrais besoins, ceux qui sont bons pour vous ?
Cela s'apprend car, sûrement, vous ne l'avez jamais fait, vous n'avez pas osé par peur d'être égoïste.
Mais plus vous serez heureux, bien dans votre vie, plus vous apporterez tout cela aux personnes autour de vous. Un enfant qui sent son parent heureux profite de toute cette belle énergie et de ce très beau modèle pour son avenir dans le monde adulte.
Alors osez dire Non !
A propos de l'auteur :
Dominique Georges.
Conseillère en relation humaine, Coach en évolution personnelle
Sa devise "Se Prendre Par La Main Pour Prendre Sa Vie en Mains"
http://www.surlechemindelareussite.com/lecons
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Oui, à une amie pour l'accompagner à un rendez-vous, Oui pour aller au cinéma, alors que vous aviez plutôt pensé vous mettre en tenue confortable et vous faire un plateau-télé,
Oui, pour garder les enfants de votre belle sœur, Oui pour aller bricoler chez un collègue ou l'aider à déménager…
Autant de moments de frustration où vous vous êtes dit : « Mais pourquoi ai-je encore dit Oui ? »
Pourquoi ne savons-nous pas dire Non ?
- parce qu'on n'a pas appris à le faire : aviez-vous le droit de dire Non à Papa, à Maman, au « grand » en général ?
- parce que c'est peut-être pour nous une façon d'exister, d'être utile, de rendre des services.
N'entendez pas par là qu'il ne faut jamais dire Oui !
Mais posez-vous juste la question :
« Est-ce que le fait de dire Oui est bon pour moi ? »
Oui, parce ce que vous allez aussi vous faire plaisir en gardant les enfants de votre belle sœur, Oui, parce que vous avez vraiment envie de faire plaisir à cet ami…
Non, parce que vous êtes fatigué et que votre corps à besoin de se reposer, Non, parce que vous avez une autre invitation qui va vous ravir…
Habituez-vous à prendre un petit temps avant de répondre, ou revenez sur votre engagement rapidement en disant :
« j'ai répondu un peu vite mais je ne peux pas », sans forcément vous justifier, juste vous donner le droit d'être vous-même prioritaire dans vos besoins.
Nous écoutons très souvent nos « faux besoins », c'est-à-dire ce que nous faisons pour plaire ou par peur de déplaire.
Et si vous écoutiez vos vrais besoins, ceux qui sont bons pour vous ?
Cela s'apprend car, sûrement, vous ne l'avez jamais fait, vous n'avez pas osé par peur d'être égoïste.
Mais plus vous serez heureux, bien dans votre vie, plus vous apporterez tout cela aux personnes autour de vous. Un enfant qui sent son parent heureux profite de toute cette belle énergie et de ce très beau modèle pour son avenir dans le monde adulte.
Alors osez dire Non !
A propos de l'auteur :
Dominique Georges.
Conseillère en relation humaine, Coach en évolution personnelle
Sa devise "Se Prendre Par La Main Pour Prendre Sa Vie en Mains"
http://www.surlechemindelareussite.com/lecons
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Purificateur d'air ioniseur pour la santé de personnes allergiques
Les appareils avec des ions négatifs ont pour nom ioniseur air aident à éliminer le pollen, les spores de moisissure, la poussière, les squames d'animaux, et bien d'autres allergies avec des particules polluante de l'air que vous respirez.
Les générateurs d'ions négatifs peuvent aider à rafraîchir et purifier l'air que vous respirez en silence, au mieux, et en toute sécurité.
Les études scientifiques sur les ions négatifs ont également montré que certaines personnes qui sont de mauvaise humeur, fatigué, déprimé, ou avec des difficultés de concentration, change en fonction des ions négatifs soit ils sont faibles, ou lorsque des ions positifs chefs sont élevés (en face d'un écran d'ordinateur ou de télévision) par exemple tout change !
En savoir plus sur les appareils purificateurs air, ces appareils ont très souvent un filtre HEPA qui est l'abréviation de "High Efficiency Particulate Air filtre d'arrêt." HEPA n'est pas une marque de purificateur d'air. Il s'agit d'un type de filtre à air qui est utilisé dans l'air et le nettoyage du matériel d'épuration de l'air, y compris les nettoyeurs, purificateurs d'air de haute qualité et les aspirateurs. La plupart des épurateurs d'air HEPA filtre de particules en suspension dans l'environnement à 0,3 microns, à un taux d'efficacité de 99,97%. Ils vont filtrer et supprimer certains des plus petites particules d'allergènes comme la poussière, la fumée, le pollen, les squames d'animaux, acariens allergènes etc Lorsque des entreprises veulent enlever l'amiante dans les bâtiments et le nettoyage des produits pharmaceutiques et d'autres éléments toxiques, les déversements, les épurateurs d'air filtré par un filtre HEPA par le vide et l'équipement sont les outils nécessaires pour cet emploi. Ces travaux de nettoyage d'air en filtrant les particules (allergènes) dans l'air à travers un filtre HEPA, qui emprisonne les particules, ne permettant que l'air propre de retourner dans l'environnement intérieur. Plus l'air est échangé à travers le filtre HEPA air dans la pièce ou espace ouvert, meilleure est la qualité de l'air. Plus le taux d'échange d'air par heure, la plus propre de l'air seront dans la salle. Les épurateurs d'air hepa ou ionisateur sont très efficace, pour un usage dans une chambre ou un espace ouvert à la fois.
REMARQUE: Si vous utilisez un filtre à air HEPA dans votre chambre, il ne sera pas en mesure de purifier l'air dans votre salon ou dans d'autres zones de votre maison. Pour en savoir plus je vous invite à visiter le site ioniseur, un site français sur les purificateurs d'air ioniseur (purifiers ionizer) d'eau et d'air.
Un site gratuit, indépendant et sans publicités de type google par exemple.
-
Ce texte est un texte unique pour le site articlesenligne.com, merci de ne pas le recopier sur un autre site.
A propos de l'auteur :
Responsable/Créateur : Nicolas Varaud
E-mail : nicolas.varaud (at) gmail.com
http://www.Ioniseurs.org
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Les générateurs d'ions négatifs peuvent aider à rafraîchir et purifier l'air que vous respirez en silence, au mieux, et en toute sécurité.
Les études scientifiques sur les ions négatifs ont également montré que certaines personnes qui sont de mauvaise humeur, fatigué, déprimé, ou avec des difficultés de concentration, change en fonction des ions négatifs soit ils sont faibles, ou lorsque des ions positifs chefs sont élevés (en face d'un écran d'ordinateur ou de télévision) par exemple tout change !
En savoir plus sur les appareils purificateurs air, ces appareils ont très souvent un filtre HEPA qui est l'abréviation de "High Efficiency Particulate Air filtre d'arrêt." HEPA n'est pas une marque de purificateur d'air. Il s'agit d'un type de filtre à air qui est utilisé dans l'air et le nettoyage du matériel d'épuration de l'air, y compris les nettoyeurs, purificateurs d'air de haute qualité et les aspirateurs. La plupart des épurateurs d'air HEPA filtre de particules en suspension dans l'environnement à 0,3 microns, à un taux d'efficacité de 99,97%. Ils vont filtrer et supprimer certains des plus petites particules d'allergènes comme la poussière, la fumée, le pollen, les squames d'animaux, acariens allergènes etc Lorsque des entreprises veulent enlever l'amiante dans les bâtiments et le nettoyage des produits pharmaceutiques et d'autres éléments toxiques, les déversements, les épurateurs d'air filtré par un filtre HEPA par le vide et l'équipement sont les outils nécessaires pour cet emploi. Ces travaux de nettoyage d'air en filtrant les particules (allergènes) dans l'air à travers un filtre HEPA, qui emprisonne les particules, ne permettant que l'air propre de retourner dans l'environnement intérieur. Plus l'air est échangé à travers le filtre HEPA air dans la pièce ou espace ouvert, meilleure est la qualité de l'air. Plus le taux d'échange d'air par heure, la plus propre de l'air seront dans la salle. Les épurateurs d'air hepa ou ionisateur sont très efficace, pour un usage dans une chambre ou un espace ouvert à la fois.
REMARQUE: Si vous utilisez un filtre à air HEPA dans votre chambre, il ne sera pas en mesure de purifier l'air dans votre salon ou dans d'autres zones de votre maison. Pour en savoir plus je vous invite à visiter le site ioniseur, un site français sur les purificateurs d'air ioniseur (purifiers ionizer) d'eau et d'air.
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Traitement de l'éjaculation précoce (approuvée par 38 médecins)
Satisfaire le désir sexuel d'une femme c'est lui donnée le temps suffisant de pratique sexuel, car les femmes en général ont besoin de plus de temps que les hommes pour obtenir un orgasme.
Si vous n'arrivez pas à vous contrôler pendant l'acte sexuel et vous ne pouvez vous empêcher devant l'éjaculation précoce, ceci peut décevoir la partenaire qui va sentir très excitée sans pouvoir atteindre l'orgasme, et généralement les femmes préfèrent éviter les rapports sexuels que de se trouver dans telles situations. Les études ont montré que près de 30% des hommes souffrent d'une éjaculation prématurée ou rapide.
Les causes de l'éjaculation prématurée peuvent être l'excitation, le stress ou l'inquiétude, qui sont des facteurs majeurs dans le contrôle de la culmination.
L'éjaculation prématurée chez l'homme peut commencer dés sa jeunesse et si elle n'est pas traitée, elle s'aggrave avec l'age et accompagne l'homme tout au long de sa vie.
Les chercheurs ont mis tout leur savoir faire ces dernières années pour trouver, enfin, la formule purement naturelle PremaStop qui va mettre fin aux problèmes de l'éjaculation prématurée.
PremaStop est une formule préparés à base de plantes, qui n'a aucun effet indésirable ou secondaire que ce soit sur la capacité sexuelle ou la santé générale de l'individu.
Aujourd'hui, les médecins prennent les remèdes naturels au sérieux. Ils étudient les formules à base de plantes lors d'essais cliniques et recommandent régulièrement des méthodes naturelles spécifiques. En outre, ils approuvent l'utilisation de PremaStop pour améliorer et récupérer la confiance et augmenter appétit sexuel.
Avis et Témoignages:
Hassan Elharraf – 27 ans – Rabat, Maroc
“A partir de l'âge de 12 ans J'ai commencé à me masturber. J'en suis devenu presque accro. A 17 ans J'ai eu ma première relation sexuel qui n'a même pas duré plus de 10 secondes. J'ai été un éjaculateur précoce pendant prés de 11 ans jusqu'àce que je tombe sur ce site il y a 2 mois. J'ai commandé PREMASTOP et je suis aujourd´hui un nouvel homme. Merci de tout mon cœur” .
Sylvain W. – 55 ans – Lausanne, Suisse
“A 55 ans je ne suis plus un « tout jeune homme », divorcé, mes plaisirs se limitaient à la masturbation solitaire. C'est sans doute cela qui, rétrospectivement m'a provoqué un problème d'éjaculation précoce. Suite à PREMASTOP, je suis arrivé a un contrôle total de mon plaisir. Je me suis depuis lancé sur internet pour faire des rencontres, et je suis même passé a l'acte a plusieurs reprises sans qu'aucune de mes partenaires n'aient à s'en plaindre!“
http://tinyurl.com/ejaculation-precoce
A propos de l'auteur :
La médecine naturelle a toujours été pratiquée comme soins alternatifs ou parallèles aux traitements conventionnels existants. De nos jours, elle est de plus en plus populaire et ce grâce aux travaux de recherches dans des laboratoires de hautes technologies, conduits par des médecins et des scientifiques éminents à travers le monde.
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Si vous n'arrivez pas à vous contrôler pendant l'acte sexuel et vous ne pouvez vous empêcher devant l'éjaculation précoce, ceci peut décevoir la partenaire qui va sentir très excitée sans pouvoir atteindre l'orgasme, et généralement les femmes préfèrent éviter les rapports sexuels que de se trouver dans telles situations. Les études ont montré que près de 30% des hommes souffrent d'une éjaculation prématurée ou rapide.
Les causes de l'éjaculation prématurée peuvent être l'excitation, le stress ou l'inquiétude, qui sont des facteurs majeurs dans le contrôle de la culmination.
L'éjaculation prématurée chez l'homme peut commencer dés sa jeunesse et si elle n'est pas traitée, elle s'aggrave avec l'age et accompagne l'homme tout au long de sa vie.
Les chercheurs ont mis tout leur savoir faire ces dernières années pour trouver, enfin, la formule purement naturelle PremaStop qui va mettre fin aux problèmes de l'éjaculation prématurée.
PremaStop est une formule préparés à base de plantes, qui n'a aucun effet indésirable ou secondaire que ce soit sur la capacité sexuelle ou la santé générale de l'individu.
Aujourd'hui, les médecins prennent les remèdes naturels au sérieux. Ils étudient les formules à base de plantes lors d'essais cliniques et recommandent régulièrement des méthodes naturelles spécifiques. En outre, ils approuvent l'utilisation de PremaStop pour améliorer et récupérer la confiance et augmenter appétit sexuel.
Avis et Témoignages:
Hassan Elharraf – 27 ans – Rabat, Maroc
“A partir de l'âge de 12 ans J'ai commencé à me masturber. J'en suis devenu presque accro. A 17 ans J'ai eu ma première relation sexuel qui n'a même pas duré plus de 10 secondes. J'ai été un éjaculateur précoce pendant prés de 11 ans jusqu'àce que je tombe sur ce site il y a 2 mois. J'ai commandé PREMASTOP et je suis aujourd´hui un nouvel homme. Merci de tout mon cœur” .
Sylvain W. – 55 ans – Lausanne, Suisse
“A 55 ans je ne suis plus un « tout jeune homme », divorcé, mes plaisirs se limitaient à la masturbation solitaire. C'est sans doute cela qui, rétrospectivement m'a provoqué un problème d'éjaculation précoce. Suite à PREMASTOP, je suis arrivé a un contrôle total de mon plaisir. Je me suis depuis lancé sur internet pour faire des rencontres, et je suis même passé a l'acte a plusieurs reprises sans qu'aucune de mes partenaires n'aient à s'en plaindre!“
http://tinyurl.com/ejaculation-precoce
A propos de l'auteur :
La médecine naturelle a toujours été pratiquée comme soins alternatifs ou parallèles aux traitements conventionnels existants. De nos jours, elle est de plus en plus populaire et ce grâce aux travaux de recherches dans des laboratoires de hautes technologies, conduits par des médecins et des scientifiques éminents à travers le monde.
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VigraPlus™ alternative naturelle au viagra
Le VigraPlus™ n'est pas un comprimé miracle ; le succès de VigraPlus™ est principalement lié à la sélection des ingrédients naturels les plus efficaces pour soigner l'impuissance. VigraPlus™ a aidé plusieurs hommes à se débarrasser efficacement de leur impuissance et continue à apporter bonheur et harmonie dans la vie des couples. Le VigraPlus™ apporte les mêmes bienfaits que le Viagra®, mais sans AUCUN effet secondaire.
Pourquoi VigraPlus™ est préféré au Viagra®?
La raison principale pour laquelle les hommes préfèrent le VigraPlus™ au Viagra® est parce que le produit les a aidé à se débarrasser de leur impuissance sans causer aucun effet secondaire.
La Crise cardiaque, les battements cardiaques irréguliers, les troubles de la vision, les maux de tête, les infections urinaires, la diarrhée ; sont autant d'effets secondaires causés par le Viagra®.
Les médecins ayant prescrit du VigraPlus™ à leurs patients ont observé des résultats satisfaisants dans tous les cas cliniques.
Résultats
Le VigraPlus™donne son effet 30 minutes après sa prise.
Naturel et sûr, le traitement à base de VigraPlus pendant 6 mois, est le remède le plus efficace contre l'impuissance totale, le dysfonctionnement érectile et le manque de désir. A terme de cette période, vous remarquerez un rétablissement de vos performances sexuelles habituelles et de votre libido. (A condition de bien respecter le dosage pendant le traitement)
A propos de l'auteur :
satisfyourwife.com
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Pourquoi VigraPlus™ est préféré au Viagra®?
La raison principale pour laquelle les hommes préfèrent le VigraPlus™ au Viagra® est parce que le produit les a aidé à se débarrasser de leur impuissance sans causer aucun effet secondaire.
La Crise cardiaque, les battements cardiaques irréguliers, les troubles de la vision, les maux de tête, les infections urinaires, la diarrhée ; sont autant d'effets secondaires causés par le Viagra®.
Les médecins ayant prescrit du VigraPlus™ à leurs patients ont observé des résultats satisfaisants dans tous les cas cliniques.
Résultats
Le VigraPlus™donne son effet 30 minutes après sa prise.
Naturel et sûr, le traitement à base de VigraPlus pendant 6 mois, est le remède le plus efficace contre l'impuissance totale, le dysfonctionnement érectile et le manque de désir. A terme de cette période, vous remarquerez un rétablissement de vos performances sexuelles habituelles et de votre libido. (A condition de bien respecter le dosage pendant le traitement)
A propos de l'auteur :
satisfyourwife.com
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Comment bien choisir son chauffage électrique ?
En matière de chauffage, vous n'avez que l'embarras du choix : aérothermie, géothermie, chauffage électrique, climatisation réversible, chauffage bois, chauffage solaire, chauffage au fuel, chauffage gaz.
Devant la flambée du prix du fioul, il y a un retour en force du chauffage électrique, mais là aussi, de nombreuses possibilités s'offrent à vous :
1. Le plancher chauffant électrique obtient la faveur du public, lors de la construction d'une maison neuve, ou pour une rénovation complète.
2. Le chauffage central électrique : une chaudière électrique chauffe l'eau de votre circuit de chauffage, afin d'alimenter les radiateurs ou un plancher chauffant
3. Les convecteurs électriques : convecteurs mécaniques ou électroniques classiques, dit "grille pain", et qui sont de moins en moins appréciés, car peu confortables
4. Les panneaux rayonnants : sur le même principe que le soleil, ils utilisent le rayonnement, afin de vous chauffer et sont donc plus confortables
5. Les radiateurs à chaleur douce : Un chauffage chaleur douce vous procurera une chaleur régulière, agréable, sans les à- coups de la sensation chaud froid. Il s'agit d'une chaleur par rayonnement, uniforme, comparable à celle d'un chauffage central.
6. Les radiateurs à inertie: sur le même principe que les radiateurs à chaleur douce, mais avec une plus grande inertie, par une accumulation de chaleur, généralement dans de la fonte
7. Les radiateurs à accumulation : emmagasinent pendant les heures creuses d'EDF (à tarif réduit), la chaleur électrique, dans des briques réfractaires ou dans de la stéatite, et ceci, afin de la restituer en jour. Vous bénéficiez de la même façon d'une chaleur douce, comme avec un chauffage central, et en plus vous faites des économies
8. Les radiateurs à fluide caloporteur, convecteurs à bain d'huile : une résistance électrique thermoplongeante réchauffe une huile minérale, haute performance et biodégradable qui circule dans le corps de chauffe. Là aussi la chaleur est douce et homogène du sol au plafond
9. Les pompes à chaleur extraient des calories du milieu environnant (eau, air, sol), afin de chauffer votre maison l'hiver ou de la climatiser l'été, quand vous avez opté pour la réversibilité. Que ce soit la géothermie très basse énergie, l'aérothermie ou la climatisation réversible, ces moyens de chauffage sont très prisés en ce moment, car ils permettent de faire de sérieuses économies de chauffage électrique. Seul le compresseur et éventuellement les circulateurs et ventilateurs consomment de l'électricité
10. Les cheminées électriques apportent une ambiance dans votre salon, et vous profitez de l'effet feu
11. Les sèche-serviettes électriques sont très appréciés dans les salles de bain, et de plus en plus dans les cuisines
12. Les chauffages d'appoint électriques : convecteurs mobiles, chauffages soufflants céramiques, radiateurs infrarouge sont là uniquement pour un complément de chauffage
Tous ces moyens de chauffage électrique ont leurs avantages et inconvénients. Il ne faut surtout pas oublier à chaque fois, de tenir compte du montant de l'investissement nécessaire, en plus du coût annuel du chauffage choisi (consommation + entretien). Et là on peut avoir d'énormes surprises, car le chauffage électrique soi disant le plus économique, en terme de consommation, ne le sera pas en réalité, si on divise le coût de son investissement, sur 15 ans par exemple.
Lorsque vous optez pour un chauffage électrique, le plus important est de prévoir une très bonne isolation. Il est impératif de prévoir également un gestionnaire d'énergie, qui vous permettra de baisser la température, pendant vos absences, et la nuit, et ce pièce par pièce, en fonction de vos besoins de chauffage électrique.
A propos de l'auteur :
Vous souhaitez changer prochainement votre moyen de chauffage
électrique, mais vous hésitez. Vous trouverez ici toutes les informations, afin de sélectionner le bon mode de chauffage, en fonction
de votre habitat :
http://debusquer.info/chauffage.electrique/chauffage.electrique.php
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Devant la flambée du prix du fioul, il y a un retour en force du chauffage électrique, mais là aussi, de nombreuses possibilités s'offrent à vous :
1. Le plancher chauffant électrique obtient la faveur du public, lors de la construction d'une maison neuve, ou pour une rénovation complète.
2. Le chauffage central électrique : une chaudière électrique chauffe l'eau de votre circuit de chauffage, afin d'alimenter les radiateurs ou un plancher chauffant
3. Les convecteurs électriques : convecteurs mécaniques ou électroniques classiques, dit "grille pain", et qui sont de moins en moins appréciés, car peu confortables
4. Les panneaux rayonnants : sur le même principe que le soleil, ils utilisent le rayonnement, afin de vous chauffer et sont donc plus confortables
5. Les radiateurs à chaleur douce : Un chauffage chaleur douce vous procurera une chaleur régulière, agréable, sans les à- coups de la sensation chaud froid. Il s'agit d'une chaleur par rayonnement, uniforme, comparable à celle d'un chauffage central.
6. Les radiateurs à inertie: sur le même principe que les radiateurs à chaleur douce, mais avec une plus grande inertie, par une accumulation de chaleur, généralement dans de la fonte
7. Les radiateurs à accumulation : emmagasinent pendant les heures creuses d'EDF (à tarif réduit), la chaleur électrique, dans des briques réfractaires ou dans de la stéatite, et ceci, afin de la restituer en jour. Vous bénéficiez de la même façon d'une chaleur douce, comme avec un chauffage central, et en plus vous faites des économies
8. Les radiateurs à fluide caloporteur, convecteurs à bain d'huile : une résistance électrique thermoplongeante réchauffe une huile minérale, haute performance et biodégradable qui circule dans le corps de chauffe. Là aussi la chaleur est douce et homogène du sol au plafond
9. Les pompes à chaleur extraient des calories du milieu environnant (eau, air, sol), afin de chauffer votre maison l'hiver ou de la climatiser l'été, quand vous avez opté pour la réversibilité. Que ce soit la géothermie très basse énergie, l'aérothermie ou la climatisation réversible, ces moyens de chauffage sont très prisés en ce moment, car ils permettent de faire de sérieuses économies de chauffage électrique. Seul le compresseur et éventuellement les circulateurs et ventilateurs consomment de l'électricité
10. Les cheminées électriques apportent une ambiance dans votre salon, et vous profitez de l'effet feu
11. Les sèche-serviettes électriques sont très appréciés dans les salles de bain, et de plus en plus dans les cuisines
12. Les chauffages d'appoint électriques : convecteurs mobiles, chauffages soufflants céramiques, radiateurs infrarouge sont là uniquement pour un complément de chauffage
Tous ces moyens de chauffage électrique ont leurs avantages et inconvénients. Il ne faut surtout pas oublier à chaque fois, de tenir compte du montant de l'investissement nécessaire, en plus du coût annuel du chauffage choisi (consommation + entretien). Et là on peut avoir d'énormes surprises, car le chauffage électrique soi disant le plus économique, en terme de consommation, ne le sera pas en réalité, si on divise le coût de son investissement, sur 15 ans par exemple.
Lorsque vous optez pour un chauffage électrique, le plus important est de prévoir une très bonne isolation. Il est impératif de prévoir également un gestionnaire d'énergie, qui vous permettra de baisser la température, pendant vos absences, et la nuit, et ce pièce par pièce, en fonction de vos besoins de chauffage électrique.
A propos de l'auteur :
Vous souhaitez changer prochainement votre moyen de chauffage
électrique, mais vous hésitez. Vous trouverez ici toutes les informations, afin de sélectionner le bon mode de chauffage, en fonction
de votre habitat :
http://debusquer.info/chauffage.electrique/chauffage.electrique.php
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Comment sauver son couple et reconquérir son ex, son/sa partenaire
Quand votre partenaire vous dit « je ne t'aime plus » ou « je te quitte », ou « séparons-nous un petit temps car j'ai besoin de faire le point ! » ou « on doit se parler… », la question est de savoir si vous pouvez encore sauver votre couple. Ce genre de situation vous plonge dans un état de chamboulement émotionnel absolu dans lequel vous ne pouvez plus penser valablement.
Que faire ? Comment réagir ? Mon/Ma partenaire peut-il/elle encore changer d'avis ? Puis-je sauver mon couple ? Si oui, comment ?
La réponse à cette dernière question est « Oui !», votre partenaire peut changer d'avis ! Cela arrive même très souvent. Tous les jours de nombreux couples se séparent puis se remettent ensemble et souvent pour former un couple encore plus fort, mieux construit, plus équilibré et qui dure.
En attendant de mettre en pratique la stratégie pour reconquérir votre partenaire, vous devez absolument éviter toute une série d'erreurs qui éloigneraient davantage votre partenaire et pourraient même parfois être fatales à toute tentative de reconquête ultérieure !
La règle numéro un est de surtout ne pas manquer de respect à votre partenaire à ce moment précis. Vous pouvez exprimer votre émotion sous forme de pleurs, ou de tristesse. Mais n'exprimez pas de la colère. Si vous devez exprimer de la colère, de la frustration, éloignez-vous et vivez cela seul. Sortez, allez vous promener, criez dans la nature. Isolez-vous et frappez l'oreiller de votre lit. Mais ne faites pas l'erreur de manquer de respect à votre partenaire. C'est un être humain. Sa décision est l'acte d'un être humain libre et la pire des choses que vous pourriez faire à ce moment-là est de nier ce droit fondamental à la liberté. Nous avons tous le droit de choisir le cours que nous voulons donner à notre existence. Toute expression de rage, de colère, de violence, de négation de l'autre, pourrait compromettre vos chances de récupérer votre partenaire.
Le premier réflexe à avoir est donc dans un premier temps d'accepter sa décision et d'éviter à tout prix d'essayer de le/la contrôler comme vous contrôleriez un objet. Mais Cela ne signifie pas que vous devez accepter que votre relation soit finie !
Après avoir évité toute une série d'erreurs fatales, vous pourrez alors mettre en pratique la stratégie pour reconquérir votre partenaire ou votre ex… Bonne chance.
Philippe Grégoire
Comment Sauver Son Couple
A propos de l'auteur :
Philippe Grégoire est l'auteur de plusieurs livres pratiques consacrés au bien être . Il a créé le site web :
http://www.comment-sauver-son-couple.com/
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Que faire ? Comment réagir ? Mon/Ma partenaire peut-il/elle encore changer d'avis ? Puis-je sauver mon couple ? Si oui, comment ?
La réponse à cette dernière question est « Oui !», votre partenaire peut changer d'avis ! Cela arrive même très souvent. Tous les jours de nombreux couples se séparent puis se remettent ensemble et souvent pour former un couple encore plus fort, mieux construit, plus équilibré et qui dure.
En attendant de mettre en pratique la stratégie pour reconquérir votre partenaire, vous devez absolument éviter toute une série d'erreurs qui éloigneraient davantage votre partenaire et pourraient même parfois être fatales à toute tentative de reconquête ultérieure !
La règle numéro un est de surtout ne pas manquer de respect à votre partenaire à ce moment précis. Vous pouvez exprimer votre émotion sous forme de pleurs, ou de tristesse. Mais n'exprimez pas de la colère. Si vous devez exprimer de la colère, de la frustration, éloignez-vous et vivez cela seul. Sortez, allez vous promener, criez dans la nature. Isolez-vous et frappez l'oreiller de votre lit. Mais ne faites pas l'erreur de manquer de respect à votre partenaire. C'est un être humain. Sa décision est l'acte d'un être humain libre et la pire des choses que vous pourriez faire à ce moment-là est de nier ce droit fondamental à la liberté. Nous avons tous le droit de choisir le cours que nous voulons donner à notre existence. Toute expression de rage, de colère, de violence, de négation de l'autre, pourrait compromettre vos chances de récupérer votre partenaire.
Le premier réflexe à avoir est donc dans un premier temps d'accepter sa décision et d'éviter à tout prix d'essayer de le/la contrôler comme vous contrôleriez un objet. Mais Cela ne signifie pas que vous devez accepter que votre relation soit finie !
Après avoir évité toute une série d'erreurs fatales, vous pourrez alors mettre en pratique la stratégie pour reconquérir votre partenaire ou votre ex… Bonne chance.
Philippe Grégoire
Comment Sauver Son Couple
A propos de l'auteur :
Philippe Grégoire est l'auteur de plusieurs livres pratiques consacrés au bien être . Il a créé le site web :
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